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ACTUALITES

Bien mal acquis de la famille régnante à Djibouti : Et six villas de plus pour Haibado/Djama, le couple de voleurs


Alwihda Info | Par Mouvement patriotique "IOG doit partir" - 20 Janvier 2017



Au royaume des Guelleh/Khadra, un nouveau jeu fait fureur depuis quelques années : la course aux villas. C'est à celui ou celle qui construira le plus de villas, voilà l'infamante exhibition du patrimoine immobilier de la famille régnante. Un patrimoine acquis, à n'en pas douter, d'une manière illicite. Pour illustrer cette course effrénée aux biens mal acquis dans laquelle s'est vautrée cette clique vorace, nous vous dévoilons aujourd'hui une acquisition immobilière qui dépasse l'entendement. Il s'agit d'un bien immobilier acquis par le couple princier de Haramous, Haibado/Djama. Et pas n'importe quel bien. Et pour cause, la fille cadette du couple présidentiel, Haibado Ismail, et son époux Djama vietnam viennent d'acquérir d'un seul coup six somptueuses villas. Un ensemble immobilier construit dans le select et très huppé quartier de Haramous. Les six villas de Haibado/Djama sont situées près de l'ambassade des états-unis d'Amérique. Leur édification a été confiée à l'entrepreneur Gaucher, lequel a d'ailleurs fait appel à l'expertise de la famille Boucher (propriétaire de la compagnie d'assurance GXA). Pour satisfaire les exigences de ses donneurs d'ordre, Gaucher a également sollicité le concours d'un certain nombre d'architectes, étrangers pour la plupart. Résultat : six villas identiques en tous points et au luxe indécent sont sorties de terre. Avec piscine et tout le tralala. Selon nos informations, ces villas destinées à la location ont coûté plus d'un milliard de nos francs. Une somme affolante pour le commun des mortels mais une broutille pour les deux heureux acquéreurs de cet ensemble immobilier qui n'ont pas lésiné sur les moyens pour se faire plaisir. Avec leurs six nouvelles villas, le couple Haibado/Djama se positionne dorénavant en tête du peloton dans la fameuse course aux villas, juste derrière la reine-mère Khadra Haid qui, elle, est une championne hors pair. Outre ces six villas, ce couple princier possède un patrimoine immobilier très conséquent comprenant des villas, des appartements, des immeubles, des terrains non bâtis sis dans des endroits stratégiques de la capitale. Un patrimoine à usage locatif et commercial qui leur rapporte plein de flouzes à la fin de chaque mois. Un patrimoine qui va sans doute s'étoffer. Parmi leurs frasques immobilières, citons le cas de leur logement de fonction qui jouxte l'ambassade de France, situé au boulevard Idriss Omar Guelleh (une coïncidence?) dans le quartier du plateau du serpent, récemment acquis pour une broutille. Le couple princier s'est juste acquitté de la modique somme de 5 millions de nos francs pour s'offrir une villa appartenant à l'état. Presque gratuitement ou très en deçà des prix du marché. Dire qu'avec cette somme, ce couple ne pourrait même pas s’offrir une maison en planches à Balbala. Dès que leur logement de fonction est tombé dans leur escarcelle, Haibado y a effectué des aménagements conséquents qui ont coûté la bagatelle de 50 millions de nos francs. De l'argent que la vice-présidente de la kleptocratie familiale a puisé dans les caisses de la Présidence. A l'évidence, le couple Haibado/djama s'est constitué un patrimoine immobilier avec des fonds illicites. C'est peu dire que le tandem Haibado/Djama soit un couple de voleurs qui s'est enrichi avec les deniers publics, autrement dit sur le dos du peuple. A l'instar du reste des membres de la famille régnante, ce couple de détourneurs des fonds publics considère notre pays comme leur propriété, leur vache à lait où ils peuvent se servir à satiété. Une mamelle nourricière où l'on tête jusqu'à l'indigestion. La conduite vénale et prédatrice du duo Haibado/Djama, un acte que la morale réprouve, est encouragée par le système prébendier et prévaricateur mis en place par les deux parrains de Haramous, IOG/Khadra. Décidément, cette famille régnante n'est qu'une clique de voleurs obnubilée par l’appât du gain illicite et le pillage des maigres richesses nationales. Cette caste criminelle siphonne sans vergogne les caisses de l'état, s'accapare le patrimoine national et spolie l'argent du peuple. Depuis l'avènement des Guelleh/Khadra, nous assistons à une prédation inédite dans l’histoire récente de notre pays, celle opérée par la famille régnante qui détourne des milliards de nos francs dans les caisses de l’état. Un enrichissement effréné et surtout illicite au détriment de la population djiboutienne qui se débat dans une misère atroce. Pendant que les nôtres crient famine, la famille régnante se goinfre avec notre argent. Stop au vol et au détournement des deniers publics !triment de la population djiboutienne qui se d



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