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Cameroun : ABANDA George, voici comment le directeur général de FIPCAM, MULLER Stéphane m’a tué.


Alwihda Info | Par Y. MEYANGA - 13 Juillet 2016


Le technicien du service électricité a perdu confiance en l’être humain, celui qui a failli laisser sa vie sur le toit du premier étage d’un bâtiment. MULLER se vante sur sa moto en faisant le tour de la ville de Mfou : « je construis une salle en planche derrière la résidence d’une autorité de la ville à proximité de l’école primaire, je vais contourner vos plaintes». une source en poste dévoile que cela lui a été conseillé pour essayer de contourner les enquêtes en cours et essayer de montrer bonne figure lors des enquêtes de terrain en échange, un rapport complaisant lui sera accordé.


ABANDA George, ex employé de la société forestière FIPCAM ,a été licencié il y a quelques années motivation prise de ce qu’il aurait été constaté que son rendement aurait baissé après son accident de travail survenu un jour du dimanche.

En effet, après une dizaine d’années de loyaux services au sein de la société FIPCAM, ABANDA George qui vient de passer une semaine de travail de 6 jours est convoqué verbalement par MULLER Stéphane pour une nouvelle séance de travail le 7ème jour ,c'est-à-dire dimanche. ABANDA George s’y rend et monte sur la toiture du premier étage de la direction générale de la FIPCAM et fait le travail que lui a imposé le directeur général.

Faute de mesures de sécurité ABANDA George dégringole de la toiture et se fracasse sur le sol, il a été amené à l’hôpital et a subi un début de soin. ,des examens ont été faits et l’accidenté a passé plusieurs mois d’indisponibilité. Après son rétablissement il se présente à la FIPCAM pour demander la reprise du service et la fiche de déclaration de son accident de travail à la caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS).
Il est d’abord surpris qu’après un si violent accident qui l’a handicapé de plusieurs aptitudes le directeur général MULLER Stéphane le remet au même poste de travail.Il fait le boulot de manière consciencieuse et assidu mais en se faisant violence tellement les douleurs sur le dos et la nuque se faisaient de plus en plus violents mais le courageux technicien continue à travailler en signalant de temps en temps au directeur général les douleurs qui lui reviennent.
Un jour ABANDA George demande au directeur général à quel niveau se trouve son dossier d’accidenté de travail à la CNPS, MULLER Stéphane répond que le dossier est suivi par le service du personnel et le paiement du dédommagement se fera dans quelques jours. Sauf que rien ne vient et ABANDA George va se renseigner à la CNPS qui lui demande son numéro matricule, après vérification sur l’ordinateur, on lui rétorque ne pas avoir connaissance de l’existence du paiement prochain d’un dossier relatif à cet accident. En réalité, les dirigeants de la société FIPCAM se sont fait rembourser les frais qu’ils ont engagé pour les premiers soins de l’accidenté ABANDA George mais n’ont rien entrepris pour que l’accidenté entre en possession de l’indemnisation liée à son accident de travail.
Après ce nouveau rebondissement, ABANDA George est licencié abusivement. Il tente une médiation que refuse le directeur général et se fait même menacé par ce dernier qui lui promet la mort au cas où il alerte les hautes autorités du pays et les médias.
Ce brave travailleur ne réclame qu’une seule chose que la FIPCAM prenne les dispositions nécessaires pour que la CNPS le dédommage et que son licenciement soit revu en fonction de la loi en vigueur.

Les médias du monde, les ONG, la diaspora africaine d’Europe, les réseaux sociaux sont sollicités.
Et particulièrement aussi la presse italienne pour qu’un échos planétaire soit fait de manière à ce que tout le monde entier se rende compte du traitement esclavagiste et raciste qui est infligé aux travailleurs camerounais au sein de la société italienne FIPCAM basée à Yaoundé au Cameroun.

Votre serviteur le rencontrera pour vous dans les prochains jours pour en savoir plus.

Affaire à suivre.

Y. MEYANGA
Expert-consultant



Pour toute information, contactez-nous au : +(235) 99267667 ; 62883277 ; 66267667 (Bureau N'Djamena)