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REACTION

Cameroun : corruption raté d’un haut fonctionnaire, le directeur général de la FIPCAM, MULLER Stéphane menace de licencier son estafette et de recruter son ancien accusateur NOAH Jean.


Alwihda Info | Par FOTSO Emery Landry - 5 Juillet 2016


30 autres millions de fcfa sortis pour tenter de corrompre un haut fonctionnaire de la république afin de le pousser à étouffer l’affaire FIPCAM et MULLER, segmentée en fraude fiscale et douanière, exploitation illégale de bois, expropriation foncière, menace de mort, tentative d’assassinat, fabrication de faux titres fonciers, licenciement abusif et prise d’otage


La chèvre broute là ou elle est attachée

Le mois de juillet s’annonce mouvementé à la direction générale de la fipcam ,le directeur général, MULLER Stéphane est dans tous ses états depuis qu’il aurait découvert que le réseau de corruption de fonctionnaires qu’il a mis en place a des failles.

Lorsque les ONG ont déclenché l’affaire fipcam,elles ne se doutaient pas que la corruption cultivée par les dirigeants de cette société a atteint un taux de rendement optimum. il y a quelques temps MULLER Stéphane donne 30 millions de fcfa à son émissaire pour aller corrompre un haut fonctionnaire auprès duquel une intervention est sollicitée pour bloquer les enquêtes lancées contre MULLER Stéphane et fipcam,son estafette prend l’argent et le divise en 2 parts ,l’une de 10 millions offert au haut fonctionnaire en question et l’autre de 20 millions lui revient à elle-même, du retour de la mission de corruption, un rapport verbal est fait à MULLER Stéphane, tout s’est bien passé. Quelques temps plutard le haut fonctionnaire indique que la somme de 10 millions est dérisoire pour étouffer une affaire de fraude estimée à 3milliards de fcfa d’atteinte contre les caisses de l’Etat, MULLER Stéphane s’étonne et affirme lui avoir envoyé 30 millions.

La guerre des mots se déclenchent entre le faussaire et son estafette, MULLER Stéphane affirme qu’elle l’a roulé 20 bâtons de 1 million chacun mais elle nie tout en bloc et pense que le haut fonctionnaire et MULLER la médisent, une collaboratrice proche de l’estafette s’organise et amène des espions de MULLER Stéphane constater la construction rapide d’une maison estimée à 20 millions de fcfa au quartier Monti à Mfou,le directeur général incité par certaines collaboratrices jalouses menace désormais de licencier la loyale estafette mariée et mère de 3 enfants, en lui attribuant aussi le vol de 2 yards de tissu par pagne de 6 yards donc l’achat d’une dizaine lui a été confié pour la fête internationale de la femme le 8 mars dernier, certains dans l’entourage de l’estafette opposés à cette tentative mesquine de licenciement demandent au directeur général pourquoi n’avoir pas licencié aussi une autre estafette de la même direction lorsqu’elle avait détourné 6 millions de fcfa destinés à corrompre un fonctionnaire de la direction des forêts au ministère des forêts et de la faune, un fait qui avait été couvert par l’ancien directeur des ressources forestières de la fipcam car ce dernier en bon manager avait prescrit discrètement le remboursement des sommes détournées.

La masse ouvrière enjoint à MULLER Stéphane que s’il tente de licencier l’estafette en question mais en protégeant les autres voleurs, qu’il soit sûre que les autorités de la république et la toile seront inondées de tous les secrets de la boite et qu’une nouvelle association sera mise en place pour combattre la FIPCAM.
MULLER Stéphane aurait fait appel à l’ancien délégué du personnel NOAH Jean Joseph Martial pour prendre progressivement le poste de l’estafette pour un revenu de 600 000 fcfa à payer de manière multiforme pour ne pas choquer ses anciens futurs collègues, contre la promesse ferme de renoncer à tous ses écrits et de cheminer au coté de MULLER et FIPCAM durant les procédures d’enquêtes lancées contres ces derniers ,l’intéressé aurait marqué son accord et une série de correspondances et publications est annoncée afin de manipuler l’opinion nationale et internationale mais la haute administration aurait déjà été avertie depuis lundi dernier par certains employés en place, la communauté locale et les ONG.

FOTSO Emery Landry



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