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REACTION

Djamal Dirmy Haroun réplique au Député Gali Ngothé Gata


- 27 Novembre 2014



Réplique à Gali Ngothé Gata, ce braconnier qui confond la république et la forêt
 
Je suis vraiment navré que même à notre époque, il y’a encore des hommes qui se disent politiciens et qui n’ont pour seule ambition que de propager la haine, la violence, les troubles à l’ordre publique pour espérer se faire une place sous le soleil.
Et oui, hélas parfois nous subissons le revers de notre démocratie par des déclarations à l’emporte-pièce.
Dans un mélange de genre et d’époque, ridicule en somme, et dans une comparaison de mauvaise foi manifeste, entre le Burkina Faso et le Tchad, l’ainsi injustement appelé Député GALI NGOTHE GATA a daigné vomir sur les colonnes du journal N’Djamena BI-Hebdo numéro 1415, du… un article bourré d’allégations mensongères, injurieuses, farfelues et haineuses dans une prétendue analyse politique aux relents d’une comédie de très mauvais goût qui vise à remettre notre pays  de nouveau à feu et à sang !
Qu’il soit mécontent d’avoir occupé valablement la première loge de la prison à plusieurs reprises dans sa misérable vie de délinquant, pour avoir bafoué les lois de la République, c’est une chose, qu’il véhicule des fausses informations concoctées par son imagination fertile pour attiser la haine communautaire dans notre pays, dans un prétendu papier d’analyse politique, en est une autre. Cela dénote un esprit de revanche pitoyable qui souligne toute la petitesse de sa personne déboussolée.
Une telle violence de propos stigmatisant de manière ciblée une couche sociale entière de notre nation et appelant implicitement à un bain de sang généralisé dans notre cher pays, qui malgré une histoire  récente sanguinaire, représente aujourd’hui le seul havre de paix dans la sous-région, ne doit absolument pas être tolérée. Que ceux qui sont sensés défendre l’harmonie, la concorde, l’unité nationale, la cohésion sociale, la coexistence pacifique et la paix chèrement acquise se lèvent et trouvent rapidement  un asile de fous qui admet ce monsieur en phase fatale de folie avérée.
Dans un pays comme le nôtre, avec une hospitalité légendaire et de la tolérance dans toute sa diversité culturelle et religieuse, on rencontre encore, hélas, des enfants avec des idées sataniques
Ces propos nous rappellent les années sombres peu honorables de 1979 où ses semblables ont propagé des idées de division ethnique qui ont fait sombrer le pays dans le chaos.C’est bien l’objectif de ce dernier.
Gali Ngothé Gata s’est trompé d’époque et de pays. De nos jours, les tchadiens sont très habiles pour suivre un agitateur de son genre, politiquement limité, borné et incarnant une haine viscérale dans l’âme.
 Il a le droit de critiquer le pouvoir, d’exprimer ses idéeset de faire de propositions mais pas être aussi stupide jusqu’à ce point.Beaucoup ont pris acte de sa folie de haine contre des clans ou ethnies qu’il accuse à tort ou à raison. Je me permets de lui répondre promptement. Personne ne peut ignorer que « les ingrédients qui sont réunies au Tchad pour le génocide » dont il fait allusion seraient en réalité ce qu’il est entrain de planifier dans l’ombre. Nous ne le laisserons pas faire et nous protégerons par tous les moyens, notre pays, de ses plans criminels. L’avenir nous dira si son plan qu’il élabore avec son entourage pour exterminer un clan ou une ethnie marchera.
GaliNgothéGata, député de son état, soit disant chef de parti politiqueà la face déformée avec un visage détruit par la répulsion, pense pouvoir planifier des massacres sans s’attendre à des surprises ? Monœil. Il pense le mettre sur le dos du peuple tchadien. Qu’il ne rêve pas de génocide au Tchad, les tchadiens sont là et surtout prêts pour faire déjouer ses nuisibles initiatives et surtout pas  notre génération et dit non, non et non.
Le fameux député Gali Ngothé Gata, qui aspire diriger ce pays un jour, se livre aux ambitions d’incitationà la haine contre une communauté. Un drôle de politicien, même pas capable de diriger un village. Ses intentions sont déjà plus claires et les tchadiens ont découvert son vrai visage :propagandiste de génocide et incitateur à la haine. Il est prêt à induire ses proches en erreurs pour à la limite, profiter. C’est ce qu’il a toujours souhaité et rêvé sans avoir l’occasion de le faire. D’ailleurs, il n’y aura pas une chance aux gens de sa catégorie, de véhiculer des idées génocidaires dans notre pays. Ce monsieur,  avec son gout immodéré de la viande  de phacochère, je qualifierai mêmeson éducation, à une éducation de phacochère et avec sa politique de phacochèren’a pas mieux à faire que de hurler sa colère contre une partie de la population et s’inscrit en politicien. S’il a perdu la raison, qu’il retrouve son asile de fous, au lieu de s’attaquer à une partie de la population.
Le politicard Gali Ngothé Gata, estime faire la comparaison entre le Tchad et le Burkina. Mais, il a oublié qu’au Burkina, les politiciens de son genre ont échoué, parce qu’il n’ya pas de place pour les propagandistes de génocide moins encore des politiciens qui appellent à la haine contre une partie de la population. La politique n’est pas la haine, elle n’est pas non plus la violence,  moins encore de la divisionethnique. Rien n’est plus grave que d’avoir, dans un pays, un politicard du genre de Gali Ngothé qui planifie des actions diaboliques contre une partie de la population.S’il est à court d’idée, qu’il se taise. On ne mène pas des débats politiques avec l’aversion contre une partie de la population.
D’ailleurs  ces genres de propos  sont interdites par la constitution dont lui-même il avait voté à son temps et à mon avis il devrait être poursuivi en justice pour incitation à la haine .
Un élu du peuple qui veut le mal au peuple ou est la conscience morale et politique ?
Ses intentions étant divulguées et l’avenir nous dira, wait and see.
Je reviendrai.
 
DJAMAL DIRMY HAROUN



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