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ANALYSE

Eveil de conscience : Faut il mendier pour être reconnu pour ses dévouement à sa Nation ?


Alwihda Info | Par Abass Abdillahi - 24 Juin 2017



Eveil de conscience : Faut il mendier pour être reconnu pour ses dévouement à sa Nation  ?
Hassan Said Bogoreh dixit Hassanou est né le 26 novembre 1962 à Djibouti, issu d’une famille modeste connu du milieu de la Rép. De Djibouti. « BOGOREH »

Il est un Père d’une famille composé de 5 enfants et appartient aux hauts fonctionnaires du pays comme « Officier du Force National de la Police » de Djibouti, grade du capitaine.

Ancien joueur de l’Equipe du football « LA RED STAR du quartier 4 et Amsterdam du FC.CITE DU STADE » dans les années 70 et a pratiqué diverses sport comme la Karaté et le Basket d’où il a épaulé beaucoup des jeunes de son quartier à avoir de l’hobby pour se détourner de la précarité de la vie et des produits nocives « Drogues ».

Après ses études en France, Allemagne et un peu partout en Europe dans « le cadre « des opérations des maintiens de la paix et de la sécurité national », il s’est engagé dans la force national et de la sécurité « FNS » à son temps dirigé par le général YACIN YABEH GALAB en 1984.

Décoré de la médaille du chevalier de l’ordre de 27 juin 1993 et de la médaille de la défense du territoire par le Défunt et ancien président de la Rép.de Djibouti HASSAN GOULED APTIDON pour avoir servit son pays et son peuple, depuis maintenant 20 ans passés, bientôt à la retraite malgré ses missions Onusienne en Cote d’ivoire, d’où il a obtenu des diplômes et des médailles de mérite pour son travail, il porte toujours les mêmes galons depuis 1996 pour on ne sait pourquoi et comment ? Suivez mon regard...

Alors que ces collègues de travail l’ont toujours apprécié par sa modestie et son sérieux comme pour ses voisins.
Il est à se demander pourquoi l’autorité Djiboutien prend silence face à ces officiers oubliés dont certains sont morts dans le chagrin, la folie et d’autre dont HASSAN SAID BOGOREH a préféré s’est refugié dans la religion pour garder la moral et sa foi intacte sans rien demander à quiconque malgré l’injustice qui s’abat sur lui.

La question que beaucoup se demande et ses enfants :
- Faut-il mendier pour être reconnu pour ses dévouements à sa nation ?

- Pourquoi un homme qui a servit son pays, qui a former des jeunes policiers depuis ces années qui est doué de tout capacité tant dans l’intellectuelle et d’expérience se voit traiter ainsi. « Bras- Cassés », "mise aux placards "....

- Est-ce parce que la tribu qu’il le relie au défunt GENERAL « YACIN YABEH GALAB » dérange ?

- Pourquoi une telle humiliation, un tel isolement et lui privée de tout ses droits ?

La souffrance psychologique provoque une dépression et des maladies dont Hassan Said Bogoreh est contraint de le vivre en mieux pour la survie de sa famille malgré les difficultés qu’il a traversé, il suffit de le voir pour en tirer une leçon.

Pour ceux qu’ils le connaissent, ils n’osent presque pas à lui dire « Capitaine » tellement qu’ils ont honte de ces agissements abusifs.

Trop de danse et de fête pour enterrer des valeureux hommes qui n’ont jamais rien demandé et qui espère dans la demeure d’ALLAH.

DIEU est le seul destructeur et qui donne gout à la vie.



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