Accueil
Envoyer à un ami
Imprimer
Grand
Petit
Partager
POINT DE VUE

LA HONTE DE LA JUSTICE CONGOLAISE


Alwihda Info | Par - 22 Septembre 2012


Dans un document paru dans le journal "La Voix du Peuple" intitulé "lumière sur les évènements du 04 mars 2012", le complot honteux ourdi par le Président SASSOU NGUESSO contre le Colonel Marcel NTSOUROU avait été exposé avec toute la clarté possible, avec une précision d’horloge, ce document prévoyait même le rôle que le Président SASSOU NGUESSO avait confié à la justice après l’échec de la commission d’enquête à laquelle il avait antérieurement demandé d’atteindre le but par les tortures.


LA HONTE DE LA JUSTICE CONGOLAISE
Le Complot Ethnique Raté de ESSAMI-GATSE, OKO-GAKALA et Autres Contre le Colonel Marcel NTSOUROU

Dans l’histoire de la justice congolaise, on a jamais vu, un Président de la République, au vu et au su de tout le monde, de manière claire et délibérée, malgré la dénonciation médiatique d’un complot visible, s’acharner avec autant de haine contre un officier totalement innocent, loin de tout et sur lequel il veut envers et contre tout mettre un scandale qui relève de sa propre responsabilité.

Dans un document paru dans le journal "La Voix du Peuple" intitulé "lumière sur les évènements du 04 mars 2012", le complot honteux ourdi par le Président SASSOU NGUESSO contre le Colonel Marcel NTSOUROU avait été exposé avec toute la clarté possible, avec une précision d’horloge, ce document prévoyait même le rôle que le Président SASSOU NGUESSO avait confié à la justice après l’échec de la commission d’enquête à laquelle il avait antérieurement demandé d’atteindre le but par les tortures.

Ce documentaire précisait qu’ayant échoué malgré toutes les tortures et les tentatives de subornation à faire dire à KAKOM, l’incendiaire involontaire des fameux Camps de l’ECRAMMU et autres, qu’il avait été commandité par le Colonel Marcel NTSOUROU, la commission fut dessaisie par le Président SASSOU NGUESSO qui appela à la rescousse la Justice avec l’ordre d’atteindre le même but en mettant ce drame du 04 mars 2012 sur la charge du Colonel Marcel NTSOUROU.
Ce documentaire concluait : "Un complot avait été ourdi contre le Colonel Marcel NTSOUROU par le sommet de la hiérarchie Sécuritaire et Judiciaire" entendu, le Président Denis SASSOU NGUESSO.
Donc malgré la publication de ce documentaire (...) que nous vous republions, "Le Président SASSOU NGUESSO coincé par une situation inédite dans sa carrière", parce que survenue dans une structure directement subordonné au Ministère de le Défense dont il est le titulaire réel et donc qui fait de lui le responsable réel, numéro un de tout accident découlant de la gestion interne de la structure moteur du désastre, le Président SASSOU NGUESSO se débat comme un forcené pour atteindre trois (3) objectifs :
1.
Rejeter la thèse d’un accident interne qui fait remonté la responsabilité jusqu’à lui ;
2.
Fabriquer de toute pièce la thèse d’un complot sous quelque forme que ce soit pour créer des auteurs du complot dans le but de paraître comme une victime et en tirer profit politique au plan national et international sur la mort de centaines de Congolais et la douleur des milliers de Congolais victimes des dégâts matériels et humains.
3.
Régler ses comptes avec un officier contre lequel il éprouve des complexes qu’il a développés en lui au fil des années et une antipathie sournoise devenue insupportable – Le Colonel Marcel NTSOUROU.
Ainsi, comme il était prévu et comme il fallait s’y attendre, après six (06) mois d’information sur le sujet, deux à la DGST et quatre (04) au parquet, et après avoir récolté un échec complet sur toutes les inculpations contre le Colonel Marcel NTSOUROU, le groupe mis en place pour conduire le complot contre ce dernier s’est réuni et décidé en utilisant OKO-NGAKALA et ESSAMI NGATSE, les deux thuriféraires en bas de l’échelle, placés à la manœuvre, ces deux personnes de mauvaise foi et font aujourd’hui, de l’avis de tout le Palais de Justice, "LA HONTE HISTORIQUE DE LA JUSTICE CONGOLAISE", en les utilisant donc, d’inculper sans aucune raison, sans aucun élément nouveau dans le développement de la procédure, sans qu’une personne sensée n’ait jamais fait la moindre allusion au Colonel Marcel NTSOUROU dans cette affaire du 04 mars 2012, de l’inculper comme prévu pour le "Complot de complicité avec KAKOM" – un Caporal chef dont le Colonel Marcel NTSOUROU ignorait même jusqu’à l’existence avant le 07 mai 2012, lorsque devant le Procureur, il apprendra que le pauvre petit avait sauvagement été torturé, qu’on lui avait demandé à tout prix de citer le nom du Colonel Marcel NTSOUROU avec lequel il n’avait jamais eu et n’avait aucune relation.

Pour arriver à cette fin, ESSAMI-NGATSE et OKO-NGAKALA conçurent le plan qui suit :
1.
Demander à des officiers responsables de l’ECRAMMU, détenus, de créer au sein de la maison d’arrêt un incident sous le prétexte que le Colonel Marcel NTSOUROU parle avec les personnels de l’ECRAMMU au sein de la Maison d’Arrêt (alors que tout le monde parle librement avec des gens de l’ECRAMMU) et aller même jusqu’à une agression physique contre lui.
2.
Prendre prétexte de cet incident pour donner du crédit à des propos déjà suggérés à ces responsables de la structure de l’ECRAMMU, soit à partir d’une déposition suite à une bagarre, soit sur la base d’uns plainte, soit à travers un procès verbal pour arguer des faits nouveaux apparus en cours de la procédure et non contenus dans le réquisitoire introductif, entraînant ainsi un réquisitoire supplétif contre le Colonel Marcel NTSOUROU justifiant l’inculpation tant attendue après l’échec des autres, parachevant ainsi l’odyssée du complot du Président SASSOU NGUESSO contre le Colonel Marcel NTSOUROU, mais Dieu merci, l’agression physique fut évité de justesse.
3.
C’est ce qu’ont fait ces deux magistrats dans une collusion relevant purement et simplement de la forfaiture : S’entendre avec un prévenu, lui suggérer des propos à tenir lors d’une confrontation en l’absence du Colonel Marcel NTSOUROU, empêcher aux avocats du Colonel Marcel NTSOUROU de rétorquer en prétextant que leur client n’est pas présent, acter ses propos en catimini quand bien même on a promis aux avocats qu’on ne le ferait pas, prendre ces propos comme base pour justifier l’apparition des faits nouveaux dans la procédure et concocter un réquisitoire supplétif frauduleux pour tenter de prononcer de nouvelles inculpations sur le faux, seuls deux magistrats véreux guidés par d’autres intérêts que ceux de la Justice, deux magistrats arrivés à un niveau de forfaiture relevant de l’ignominie, deux magistrats pervers qui ont trahi leur âmes, peuvent se livrer à de telles pratiques qui plongent désormais la Justice Congolaise dans les dernières fosses abyssales de perdition.
Mais pour les confondre, sereins, les avocats du Colonel Marcel NTSOUROU ont demandé à lire ce fameux réquisitoire supplétif pour connaître, en conformité avec l’article N° (.....) du code de procédure pénale quels sont les nouveaux éléments non compris dans le réquisitoire introductif, quelle est la plainte ou quel est le procès verbal à leur base. C’est ainsi qu’on a assisté à des manœuvres jamais vues au Palais de Justice de Brazzaville. Après avoir promis de les montrer, OKO-NGAKALA s’est mis à déserter son bureau durant 5 jours interdisant à son greffier et à sa secrétaire de ne recevoir du courrier de personne.
Lorsque les avocats se rapprochent du Procureur ESSAMI-NGATSE qui a signé le fameux réquisitoire supplétif, celui-ci prêtent qu’il n’en a pas gardé copie et qu’il faut se rapprocher de OKO-NGAKALA, qui est en fuite.
Mais comment un Procureur de la République peut signer un document qui sort de son bureau et ne pas avoir même une archive. Ce réquisitoire n’a-t-il pas de numéro ? N’est-il pas enregistré au départ ? C’est invraisemblable.
Alors les avocats du Colonel Marcel NTSOUROU ont demandé par courrier d’avoir la copie intégrale du dossier, soupçonnant ces deux magistrats de toutes les combines. OKO-NGAKALA a demandé à son greffier de ne pas recevoir le courrier ! Incroyable mais vrai, pendant une semaine ! Même les huissiers envoyés pour déposer trainèrent pendant une semaine malgré l’intervention des supérieurs hiérarchique de ces deux magistrats !

Voilà le comportement de deux (02) personnes chargées d’administrer la Justice dans un dossier traitant de la mort de centaines de Congolais et de destruction immenses.
Pris en flagrant délit de tricherie et de forfaiture, ils n’ont eu qu’une seule solution, se dérober, et au su de tout le monde pour finir par repartir dans leurs milieux informel concocter d’autres complots pour s’en sortir ; ceci, au vu et au su de toute l’administration Judiciaire qui ferme les yeux ! Contribuant ainsi à l’effondrement des dernières fondations de la Justice et des derniers espoirs du Congolais.
A cette saga tragi-comique il faut ajouter une affaire personnelle qui oppose le Juge OKO-NGAKALA au Colonel Marcel NTSOUROU ; en effet, OKO-NGAKALA se serait rendu à Pointe-Noire où il aurait vécu une ténébreuse affaire d’agression contre sa personne dans un hôtel de la ville côtière et l’agresseur serait venu au nom du Colonel Marcel NTSOUROU selon les dires de OKO-NGAKALA sans plus de détails probants de sa part. cette affaire aurait fait l’objet d’une vive altercation entre le Colonel Marcel NTSOUROU et le Juge d’instruction qui aurait même confirmé qu’il y a eu un tel fait. Mais certaines langues avance que ce serait une simulation, à quelles fins ?
Il semble que quelque soit le degré de vérité d’une pareille affaire, monsieur OKO-NGAKALA est dans une situation inexplicable ; il ne devrait plus raisonnablement continuer à instruire ce dossier en ayant un tel problème avec le Colonel Marcel NTSOUROU. La récusation semble imparable, affaire à suivre...
Ces deux magistrats ont plongé le Palais de Justice de Brazzaville dans la honte ; dans tous les bureaux on chuchote sur leur incapacité à gérer le dossier et leur incompétence criarde.

La volonté de faire aboutir à tout prix le complot du Président SASSOU NGUESSO contre le Colonel Marcel NTSOUROU, envers et contre tout, en l’absence de toute preuve les conduit à la perversion et à la forfaiture et ils ont fini pas s’embrouiller au point d’humilier le Justice Congolaise.
Le Président SASSOU NGUESSO qui est derrière cette SAGA obscure et cela est su de tout le peuple Congolais devrait arrêter son manège sans fondement.

Il ne peut haïr une personne et pousser les structures du pays et les cadres à des comportements informels indignes de la République, il ne peut aux yeux de tout le monde, tapis dans l’ombre, conduire un acharnement diabolique contre un cadre en donnant l’impression que ce n’est pas lui, mais tous les militaires, tous les magistrats, tout le peuple Congolais sait que c’est lui, la main noir dans l’ombre...
Le complot contre le Colonel Marcel NTSOUROU a échoué, il faut qu’il se résigne à le reconnaître et cesse ce harcèlement qui ne fait que le ridiculiser en tant que chef de l’Etat. Nous osons croire qu’il nous entendra.
Pour les Congolais, le 04 mars 2012 est et sera un accident peut-être dû à une erreur humaine ; la situation s’est produite à l’ECRAMMU, une structure du Ministère de le Défense – le Président SASSOU NGUESSO, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement, Chef suprême des armées doit assumer devant le peuple entier son entière responsabilité en tant que Chef hiérarchique de la structure et arrêter ce cinéma judiciaire après les tortures infligés aux pauvres enfants par une commission d’enquête irresponsable.

Les congolais ont déjà tout compris. La SAGA que le Président SASSOU NGUESSO organise ne leur fera pas changer d’avis. C’est lui le Responsable numéro un (N°1) de la catastrophe de par ses Fonctions. Qu’il cesse de faire pression sur les magistrats comme il l’a fait sur les officiers de la commission d’enquête directement ou par personne interposé.
Qu’il sache aussi que ces cadres qui exécutent ses ordres ne sont pas toujours d’accord avec lui ; ils le critiquent et se confient aux gens et parlent ! Faisant ainsi, il ridiculise les structures et les cadres.
Il doit le comprendre et annoncer la fin de cette pièce de théâtre tragi-comique qui ne dit plus son nom en fermant les rideaux et en assumant avec dignité ses Responsabilités constitutionnelles qui font de lui LE RESPONSABLE DE LA CATASTROPHE.
Il est question maintenant de libérer le Colonel Marcel NTSOUROU ; c’est ce que tout le monde attend car la communauté nationale et internationale suivent de très près cette situation.

Nous Sommes le Congo
Cessons d'Avoir Peur
Pour Construire un Etat de Droit
http://www.mampouya.com/
Pour Résilier ou Recevoir nos infos Ecrivez à [email protected]



Pour toute information, contactez-nous au : +(235) 99267667 ; 62883277 ; 66267667 (Bureau N'Djamena)