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Le peuple marocain se doit de prendre son destin en main
Le 04 septembre 2015, les marocaines et les marocains devront décider du choix de leurs représentants aux instances communales et régionales ; un choix qui sera décisif pour l'avenir du Maroc, au regard des larges prérogatives que la Constitution marocaine accorde aux Conseils de Régions et aux collectivités locales ; des institutions qui sont seules responsables de la qualité des services administratifs et sociaux dont ont besoin les citoyens dans leur vie quotidienne.
C'est pourquoi, les électeurs marocains auront à faire un choix crucial en ce 04 septembre 2015, à savoir opter entre un candidat qui se présente pour obtenir un poste et s'assurer un statut social, quitte à débourser des dirhams pour s'assurer des voix puis disparaître, et un candidat prêt à enfiler son bleu de travail et de travailler sans compter pour sa commune ou sa région et ce, pour l'unique intérêt des gens dont il a responsabilité.
Les marocaines et marocains devraient savoir que ces élus, notamment ceux des Régions, seront appelés à se poser comme véritable pilier du Maroc, de l'unité nationale, de l'intégrité territoriale, de la solidarité inter-catégorielle, de la complémentarité et de l'équilibre inter-régionaux, se positionnant donc comme les éléments moteurs de la "Nouvelle Révolution" que le Maroc est en passe d'engager avec la mise en oeuvre de la régionalisation avancée.
Les marocaines et marocains sont donc appelés à participer massivement à ces élections du 04 septembre 2015 pour ne pas laisser passer cette chance de s'exprimer librement et de faire leur choix sur le candidat le plus compétent, qui lui soit proche et qui s'active à réaliser ses attentes et ce, en leur âme et conscience.
N'oublions pas que la Femme marocaine, membre active à part entière de la société marocaine, se doit également de participer avec toutes ses forces à ces élections et à faire entendre sa voix.
La Constitution lui a réservé une place de choix à son engagement dans la vie politique ; une place qui est la résultante de son rôle de levier pour l'instauration de la démocratie et qu'à ce titre, elle se doit de participer au processus de prise de décision et de gestion de la chose publique à tous les niveaux, ainsi que de son accès aux institutions représentatives.
Aussi, la campagne électorale vient-elle de débuter le 22 août 2015 et il serait impératif que les citoyennes et citoyens marocains y participent dans l'ordre, écoutent les uns et les autres dans le strict respect puis qu'ils choisissent celle ou celui qu'elle ou qu'il estime répondre à leur attente et non celui ou celle qui les a bercé dans des rêves et distillé des chants de sirènes sans lendemain.
Les réunions et meetings électoraux ne doivent surtout pas devenir des lieux d'insultes, d'ingérence dans la vie privée des candidats comme ce fut le cas au sein du Parlement et à ce titre, les partis politiques ont une grande responsabilité quant à la réussite de cette double échéance électorale et ce, au moment même où le Maroc fait face à un environnement sécuritaire régionale plus que fragile et à des menaces terroristes.
Le 04 septembre 2015 doit être le jour du grand rassemblement du peuple marocain, qui se rendra aux urnes pour exercer son droit constitutionnel, élire son représentant et assurer ainsi à ses enfants et générations futures un avenir serein.
C'est pourquoi, les électeurs marocains auront à faire un choix crucial en ce 04 septembre 2015, à savoir opter entre un candidat qui se présente pour obtenir un poste et s'assurer un statut social, quitte à débourser des dirhams pour s'assurer des voix puis disparaître, et un candidat prêt à enfiler son bleu de travail et de travailler sans compter pour sa commune ou sa région et ce, pour l'unique intérêt des gens dont il a responsabilité.
Les marocaines et marocains devraient savoir que ces élus, notamment ceux des Régions, seront appelés à se poser comme véritable pilier du Maroc, de l'unité nationale, de l'intégrité territoriale, de la solidarité inter-catégorielle, de la complémentarité et de l'équilibre inter-régionaux, se positionnant donc comme les éléments moteurs de la "Nouvelle Révolution" que le Maroc est en passe d'engager avec la mise en oeuvre de la régionalisation avancée.
Les marocaines et marocains sont donc appelés à participer massivement à ces élections du 04 septembre 2015 pour ne pas laisser passer cette chance de s'exprimer librement et de faire leur choix sur le candidat le plus compétent, qui lui soit proche et qui s'active à réaliser ses attentes et ce, en leur âme et conscience.
N'oublions pas que la Femme marocaine, membre active à part entière de la société marocaine, se doit également de participer avec toutes ses forces à ces élections et à faire entendre sa voix.
La Constitution lui a réservé une place de choix à son engagement dans la vie politique ; une place qui est la résultante de son rôle de levier pour l'instauration de la démocratie et qu'à ce titre, elle se doit de participer au processus de prise de décision et de gestion de la chose publique à tous les niveaux, ainsi que de son accès aux institutions représentatives.
Aussi, la campagne électorale vient-elle de débuter le 22 août 2015 et il serait impératif que les citoyennes et citoyens marocains y participent dans l'ordre, écoutent les uns et les autres dans le strict respect puis qu'ils choisissent celle ou celui qu'elle ou qu'il estime répondre à leur attente et non celui ou celle qui les a bercé dans des rêves et distillé des chants de sirènes sans lendemain.
Les réunions et meetings électoraux ne doivent surtout pas devenir des lieux d'insultes, d'ingérence dans la vie privée des candidats comme ce fut le cas au sein du Parlement et à ce titre, les partis politiques ont une grande responsabilité quant à la réussite de cette double échéance électorale et ce, au moment même où le Maroc fait face à un environnement sécuritaire régionale plus que fragile et à des menaces terroristes.
Le 04 septembre 2015 doit être le jour du grand rassemblement du peuple marocain, qui se rendra aux urnes pour exercer son droit constitutionnel, élire son représentant et assurer ainsi à ses enfants et générations futures un avenir serein.
