Menu
RCA : « L’on peut accuser l’armée tchadienne de tout, sauf d’homosexualité et d’abus sexuel »
AA/ N'djamena/ Abdoulaye Adoumahamat
Le commandant des contingents tchadiens en Centrafrique, Djibrine Oumar Dopalto, a rejeté les accusations d’abus sexuels reproché à certains de ses militaires contre des enfants centrafricains.
Un rapport fuité, de l'ONG américaine aids free word reproche à certains militaires évoluant en RCA, essentiellement des français et dans une moindre mesure, des tchadiens et des équato-guinéens, des abus sexuels commis contre des enfants affamés contre des vivres.
« Ce ne sont jusqu’à présent que des soupçons, et ce n’est pas non plus la première fois que l’armée tchadienne ait été accusée à tort dans ce pays », a déclaré, samedi, à Anadolu le commandant tchadien.
Défendant les siens, il a ajouté : « J’ai la conscience tranquille et suis convaincu que mes éléments n’aient commis aucun acte de ce genre.»
Le contingent tchadien, a ajouté M.Dopalto, n’a jamais occupé les zones de l’aéroport où auraient été commis ces incidents jusqu’à son retrait. D’autant plus que « tout mouvement de mes éléments était sanctionné d’avance par une autorisation de l’état-major de la force ».
Abondant dans le même sens, il a conclu: « L’on peut accuser l’armée tchadienne de tout, sauf d’homosexualité et d’abus sexuel, à moins que l’on veuille fabriquer des preuves dans le but d’écumer l’atmosphère sereine que connaissent les tchadiens actuellement. »
L’affaire dite « soupçons de viol en Centrafrique par les forces françaises, tchadiennes et équato-guinéennes » contre des enfants centrafricains nécessiteux a éclaté en début de semaine, suscitant de vives réactions dans le milieu politique français et africain ainsi que dans la presse internationale et sur les réseaux sociaux.
Une enquête a, par conséquent, été ouverte en France. La Guiée-équatoriale n'a toujours pas officiellement réagi audit rapport jusqu'à samedi en milieu d'après-midi.
Un rapport fuité, de l'ONG américaine aids free word reproche à certains militaires évoluant en RCA, essentiellement des français et dans une moindre mesure, des tchadiens et des équato-guinéens, des abus sexuels commis contre des enfants affamés contre des vivres.
« Ce ne sont jusqu’à présent que des soupçons, et ce n’est pas non plus la première fois que l’armée tchadienne ait été accusée à tort dans ce pays », a déclaré, samedi, à Anadolu le commandant tchadien.
Défendant les siens, il a ajouté : « J’ai la conscience tranquille et suis convaincu que mes éléments n’aient commis aucun acte de ce genre.»
Le contingent tchadien, a ajouté M.Dopalto, n’a jamais occupé les zones de l’aéroport où auraient été commis ces incidents jusqu’à son retrait. D’autant plus que « tout mouvement de mes éléments était sanctionné d’avance par une autorisation de l’état-major de la force ».
Abondant dans le même sens, il a conclu: « L’on peut accuser l’armée tchadienne de tout, sauf d’homosexualité et d’abus sexuel, à moins que l’on veuille fabriquer des preuves dans le but d’écumer l’atmosphère sereine que connaissent les tchadiens actuellement. »
L’affaire dite « soupçons de viol en Centrafrique par les forces françaises, tchadiennes et équato-guinéennes » contre des enfants centrafricains nécessiteux a éclaté en début de semaine, suscitant de vives réactions dans le milieu politique français et africain ainsi que dans la presse internationale et sur les réseaux sociaux.
Une enquête a, par conséquent, été ouverte en France. La Guiée-équatoriale n'a toujours pas officiellement réagi audit rapport jusqu'à samedi en milieu d'après-midi.
