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Rca: ARRIVÉE DES MEDIATEURS
Arrivés dans la capitale du pays, les médiateurs de la crise en Centrafrique veulent rencontrer les groupes armés et "ramener le calme".
Une flambée de violences a fait une vingtaine de morts dans ce pays, durant les 15 derniers jours.
La délégation s’est rendue à Bangui à l'initiative du président congolais Denis Sassou Nguesso, médiateur dans la crise centrafricaine.
Elle est notamment composée du chef de la mission de l'ONU en Afrique centrale, Abdoulaye Bathily, et du ministre congolais des Affaires étrangères, Basile Ikouébé.
La médiation est venue "discuter avec les signataires de l'accord de Brazzaville et, bien entendu, avec les autorités de la transition, pour voir comment aujourd'hui ramener le calme et la sérénité dans ce pays, pour une transition apaisée", a déclaré Abdoulaye Bathily.
"Nous voulons que les Centrafricains se remettent ensemble, se parlent et dialoguent. C'est par le dialogue et le débat d'idées qu'on sortira de cette crise de manière durable", a-t-il ajouté dans des propos rapportés par l’AFP.
Réunis à Brazzaville (Congo) fin juillet, les représentants des principaux groupes armés - l'ex-coalition musulmane Séléka et les miliciens anti-balaka, à majorité chrétienne - avaient signé un accord de cessation des hostilités.
Mais cet accord est régulièrement violé. Les affrontements, les braquages et les pillages se poursuivent à Bangui et dans d’autres localités du pays.
Une flambée de violences a fait une vingtaine de morts dans ce pays, durant les 15 derniers jours.
La délégation s’est rendue à Bangui à l'initiative du président congolais Denis Sassou Nguesso, médiateur dans la crise centrafricaine.
Elle est notamment composée du chef de la mission de l'ONU en Afrique centrale, Abdoulaye Bathily, et du ministre congolais des Affaires étrangères, Basile Ikouébé.
La médiation est venue "discuter avec les signataires de l'accord de Brazzaville et, bien entendu, avec les autorités de la transition, pour voir comment aujourd'hui ramener le calme et la sérénité dans ce pays, pour une transition apaisée", a déclaré Abdoulaye Bathily.
"Nous voulons que les Centrafricains se remettent ensemble, se parlent et dialoguent. C'est par le dialogue et le débat d'idées qu'on sortira de cette crise de manière durable", a-t-il ajouté dans des propos rapportés par l’AFP.
Réunis à Brazzaville (Congo) fin juillet, les représentants des principaux groupes armés - l'ex-coalition musulmane Séléka et les miliciens anti-balaka, à majorité chrétienne - avaient signé un accord de cessation des hostilités.
Mais cet accord est régulièrement violé. Les affrontements, les braquages et les pillages se poursuivent à Bangui et dans d’autres localités du pays.
