Il décrit des conditions de vie précaires, où l'accès à la nourriture, à l'eau potable et à des installations sanitaires adéquates est gravement limité. La situation sanitaire dans les camps est alarmante, avec des taux élevés de malnutrition, de diarrhée et de paludisme. M. Cornish note que, bien que l'incidence du paludisme ait diminué, la maladie reste largement répandue.
La distribution alimentaire irrégulière et insuffisante est une préoccupation majeure, et l'accès à l'eau potable est loin d'être suffisant, les réfugiés ne recevant que six à huit litres par jour. Les installations sanitaires sont également insuffisantes, avec une latrine pour 300 à 400 personnes.
La distribution alimentaire irrégulière et insuffisante est une préoccupation majeure, et l'accès à l'eau potable est loin d'être suffisant, les réfugiés ne recevant que six à huit litres par jour. Les installations sanitaires sont également insuffisantes, avec une latrine pour 300 à 400 personnes.
Stephen Cornish souligne la nécessité d'un engagement humanitaire soutenu et intensifié, appelant les pays donateurs à fournir des ressources financières supplémentaires pour répondre aux besoins urgents en matière d'abris, d'eau et de nourriture. Il met en lumière la souffrance des femmes et des enfants, victimes de violences et d'atrocités, et leur quête désespérée d'un refuge sûr et de conditions de vie décentes au Tchad.
Cette crise humanitaire, selon Stephen Cornish, ne peut être ignorée ou reléguée au rang de simple crise de réfugiés supplémentaire. Elle exige une réponse urgente et renforcée pour éviter une catastrophe humanitaire et des souffrances à grande échelle dans les mois à venir.
Cette crise humanitaire, selon Stephen Cornish, ne peut être ignorée ou reléguée au rang de simple crise de réfugiés supplémentaire. Elle exige une réponse urgente et renforcée pour éviter une catastrophe humanitaire et des souffrances à grande échelle dans les mois à venir.