Maître Galine Pontchombe Docile, un greffier au tribunal de grande instance de Mao, et Djimasbeye Dambo, représentant de l'association des femmes juristes à Mao, ont discuté de la violence basée sur le genre, en particulier celle qui touche les femmes.
Selon Maître Docile, il existe de nombreuses raisons pour la violence envers les femmes, telles que des relations de pouvoir inégales, certaines coutumes et religions, ainsi que l'ignorance des droits fondamentaux des femmes. Il a souligné l'importance de la formation pour la police, la justice et les femmes, et a souligné des défis tels que l'analphabétisme et l'éloignement des justiciables de la justice.
Djimasbeye Dambo a également souligné les effets dévastateurs de la violence sur les femmes, y compris la souffrance émotionnelle, les traumatismes, les blessures physiques et les difficultés relationnelles avec les proches et les enfants.
Il a également proposé des solutions pour réduire la violence envers les femmes, telles que l'accueil des victimes dans des lieux sécurisés, la création de lois adéquates et la promotion de l'égalité et du respect des femmes. La conférence s'est terminée par une séance de questions-réponses où les participants ont exprimé leur satisfaction face aux explications données.
Selon Maître Docile, il existe de nombreuses raisons pour la violence envers les femmes, telles que des relations de pouvoir inégales, certaines coutumes et religions, ainsi que l'ignorance des droits fondamentaux des femmes. Il a souligné l'importance de la formation pour la police, la justice et les femmes, et a souligné des défis tels que l'analphabétisme et l'éloignement des justiciables de la justice.
Djimasbeye Dambo a également souligné les effets dévastateurs de la violence sur les femmes, y compris la souffrance émotionnelle, les traumatismes, les blessures physiques et les difficultés relationnelles avec les proches et les enfants.
Il a également proposé des solutions pour réduire la violence envers les femmes, telles que l'accueil des victimes dans des lieux sécurisés, la création de lois adéquates et la promotion de l'égalité et du respect des femmes. La conférence s'est terminée par une séance de questions-réponses où les participants ont exprimé leur satisfaction face aux explications données.