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Tchad : informatisation des services des douanes, la migration aura lieu "dès que possible"
La direction générale des douanes et droits indirects à N'Djamena, au Tchad. © Djimet Wiche/Alwihda Info
Le processus de migration du système informatique des douanes vers un nouveau système plus performant est en cours au Tchad, afin de moderniser les services des douanes et droits indirects. L'actuel système Sydonia ++ étant devenu obsolète, les techniciens sont à l'oeuvre pour la migration.
Dans un entretien à Alwihda Info, le directeur général des douanes et droits indirects, Mahamat Charfadine Abdelkérim, apporte des détails sur les évolutions.
"À ce niveau, nous sommes en train de travailler avec les partenaires qui sont la Banque mondiale et le FMI pour migrer. Le ministère des Finances et en train de travailler à pied d'oeuvre pour l'informatisation du circuit financier. Là, ça concerne la direction générale des douanes et aussi les autres régies financières", explique Mahamat Charfadine Abdelkérim.
Selon lui, "la migration doit se faire peut être dans les mois à venir ou au milieu de l'année 2021. Il ya plusieurs étapes. Ce n'est pas un basculement directement. C'est un processus dont il faut installer des systèmes, le faire adapter au processus de dédouanement, il faut intégrer toutes les dispositions douanières dans le système avant de migrer."
Dans un entretien à Alwihda Info, le directeur général des douanes et droits indirects, Mahamat Charfadine Abdelkérim, apporte des détails sur les évolutions.
"À ce niveau, nous sommes en train de travailler avec les partenaires qui sont la Banque mondiale et le FMI pour migrer. Le ministère des Finances et en train de travailler à pied d'oeuvre pour l'informatisation du circuit financier. Là, ça concerne la direction générale des douanes et aussi les autres régies financières", explique Mahamat Charfadine Abdelkérim.
Selon lui, "la migration doit se faire peut être dans les mois à venir ou au milieu de l'année 2021. Il ya plusieurs étapes. Ce n'est pas un basculement directement. C'est un processus dont il faut installer des systèmes, le faire adapter au processus de dédouanement, il faut intégrer toutes les dispositions douanières dans le système avant de migrer."
Le directeur général des douanes et droits indirects, Mahamat Charfadine Abdelkérim. © Djimet Wiche/Alwihda Info
Le directeur des services des douanes ajoute que "si on dit toute suite qu'on doit migrer aujourd'hui ou demain, je crois que ce n'est pas une chose facile. Le ministère est en train de beaucoup travailler pour mettre en oeuvre cette migration."
La migration aura-t-elle lieu avant la fin de l'année ? "On a un chronogramme. Il est bien établi avec les techniciens de la Banque mondiale. Elle a dépêché des consultants. Même aujourd'hui, il y a un consultant qui était là. Nous ne sommes pas des techniciens de ce système, on ne peut pas dire que ça aura lieu ou non avant la fin de l'année. Mais toutefois, nous sommes tous engagés pour que cette informatisation soit effective sur l'ensemble du territoire. Cette migration aura lieu dès que possible", précise Mahamat Charfadine Abdelkérim.
La migration aura-t-elle lieu avant la fin de l'année ? "On a un chronogramme. Il est bien établi avec les techniciens de la Banque mondiale. Elle a dépêché des consultants. Même aujourd'hui, il y a un consultant qui était là. Nous ne sommes pas des techniciens de ce système, on ne peut pas dire que ça aura lieu ou non avant la fin de l'année. Mais toutefois, nous sommes tous engagés pour que cette informatisation soit effective sur l'ensemble du territoire. Cette migration aura lieu dès que possible", précise Mahamat Charfadine Abdelkérim.
