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Cameroun : Fête de l’unité 20 mai 2016, remember 24 mai 2010 le drapeau national déchiré par MULLER Stéphane et ses complices à Mfou.


Alwihda Info | Par ESSO MIKANDA Maximilien - 20 Mai 2016


Le turbulent directeur général de FIPCAM tente de faire porter le chapeau à l’humanitaire ETOUNOU Lucien.


Un défenseur des emblèmes nationaux injustement détenu dans les geôles de la prison centrale de Mfou.

Cameroun : Fête de l’unité 20 mai 2016,  remember  24 mai 2010 le drapeau national déchiré par MULLER Stéphane et ses complices à Mfou.
Très tôt à 05 heures ce matin du 20 mai 2016,les populations de Mfou se sont déportés au lieu dit Nkol-Nguet siège de la société forestière FIPCAM munies de bidon de gasoil , de machettes et d’allumettes pour y mettre du feu aux installations en signe de protestation contre les actes maléfiques de MULLER Stéphane qui a déchiré le drapeau national et lorsqu’une plainte a été déposé contre lui ,est allé plutôt dire aux magistrats que c’est ETOUNOU Lucien qui l’aurait déchiré pendant lui MULLER tenté de l’en empêcher.

Des précisions recueillis auprès des populations et des ONG révèlent qu’effectivement , le chef du village de Nkol-Nguet BALLA BALLA Innocent avait porté plainte à la gendarmerie de Mfou pour les faits relatés mais la plainte et sa décharge avait été bloquée pour effacer toute trace de ce litige qui s’apparente à une insulte contre la nation. MULLER ne s’est pas arrêté là, il aurait outragé le Président de la république Paul BIYA qui a décrété un jour férié et chômé pour les festivités du cinquantenaire en date du 24 Mai 2010, mais MULLER Stéphane a osé dire que, quand lui le blanc décide que les employés doivent venir travailler ce jour là, ces derniers ont préféré aller fêter le cinquantenaire, alors quand la masse ouvrière aura des revendications qui doivent être réglées par l’entreprise, que les employés oublient la route qui va dans son bureau, qu’ils aillent voir le Président Paul BIYA.

Et MULLER s’adressant aux employés s’est même attaqué à l‘institution présidence de la république dans les termes ci-après :

Qu’en date du 24 mai, journée déclarée férié et chômé par le Président de la république, je place ma note qu’il y a travail, vous avez plutôt choisi le cinquantenaire. Que la présidence vous reçoive.

Des patriarches de la localité sont sorti de leurs cabanes pour calmer les esprits échaudés et revanchards et après 2 heures de discussion, aux alentours de 7h du matin, la situation est revenu à la normale.

Toutefois les populations promettent de revenir si l’humanitaire ETOUNOU Lucien n’est pas libéré dans les plus brefs délais et MULLER arrêté et jugé pour atteinte à un symbole de la nation par un tribunal indépendant.

ESSO MIKANDA Maximilien
Journaliste indépendant



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