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ANALYSE

Centrafrique : L'avenir de la jeunesse hypothéqué


Alwihda Info | Par Simon koitoua - 23 Octobre 2013



Simon koitoua.
Simon koitoua.
L’Etat doit garantir la paix, la liberté, la sécurité pour toutes personnes et pour leurs biens, le respect de leur identité et de leurs droits humains fondamentaux ainsi que les conditions de leur plein épanouissement, c’est le contraire au royaume de Djotodia.

Cela s’impose en Centrafrique depuis huit mois ce beau pays vit une tragédie du jamais vue dans son histoire, nous allons dire et c’est un impératif, catégorique pour tous les Centrafricains du moins la jeunesse de vivre en paix, la liberté d’aller et de venir sur son territoire aujourd’hui, la Centrafrique notre terre natale est devenue le berceau des criminelles . Cette crise Centrafricaine a été provoqué par les assoiffés de pouvoir et l’ultime but est la débâcle de tout un peuple et se traduit entre autres par le brouillage des repères et des cadres traditionnels de référence« une culture des Hommes incompétents au sommet de l’Etat Centrafricain » qui ne permet plus à la jeunesse Centrafricaine d’espérer un avenir meilleur. Il découle de cette situation des conséquences dont certains qualifient dramatiques les relations aussi bien au sein de notre société qu’entre celle-ci est tendue, la situation s’empire de jour en jour.

La tendance « chacun pour soi » et au « sauve qui peut » qui affaiblit de plus en plus le sens de l’intérêt général et du bien commun, au profit de stratégies purement individualistes de promotion et de positionnement dans la gestion des choses de l’Etat.

Les formes de refus parfois intolérables comme les réactions d’exclusion sociale, politique, économique, culturelle, religieuse.

Les résultats sont là, palpables et dramatiques : les violes, tueries, assassinats et enlèvements. Ce sont entre autres : le développement de la violence sous toutes ces formes, l’insécurité croissante, le cambriolage grandissant et la multiplication des sources de tension et des conflits par la seleka et son chef.

Que la jeunesse Centrafricaine ait été visée dans ce sens, il est inadmissible de développer la culture de la violence en Centrafrique le régime seleka en perte de vitesse. C’est non seulement parce que l’avenir qui est compromis par une telle tragédie ? Réveille- toi jeunesse de Centrafrique le prix de la liberté c’est la souffrance. Notre souhait est la libération totale de la Centrafrique des mains de seleka cette fameuse rébellion islamiste.

Alors jeunesse Centrafricaine, Que rien ne te trouble, Que rien ne t’effraie. Tout passe et rien ne reste.

Simon koitoua



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