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Congo : La Chine et le Maroc investissent dans l'industrie du ciment
L'industrialisation du Congo constituent le deuxième volet du programme du gouvernement après la modernisation accélérée des grandes villes et cités. Pour réussir ce pari, le Congo ne cesse de multiplier les partenaires au développement. C'est dans ce cadre que s'inscrit le programme de maillage du sud du pays en industries de ciments; question sans doute de réduire la dépendance extérieure du pays en matière de matériaux de construction.
Avec une enveloppe de plus de 34 milliards de FCFA, la Chine vient de mettre en service la cimenterie Forspak à Dolisie, dans le département du Niari. Selon les prévisions, cette société chinoise entend produire 300.000 tonnes de ciments par an. Une opportunité à la fois pour le gouvernement congolais qui verrait le déficit chronique en ciments trouver une solution définitive et pour la population locale de bénéficier de nombreux emplois directs. Déjà, la direction de de Forspak a annoncé le recrutement de plus de 200 travailleurs supplémentaire pour combler le déficit en main d'œuvre.
Pour sa part, la société marocaine « ciments de l’Afrique » produira son premier sac de ciment au mois d’août 2015. La révélation a été faite par son directeur général, Anas Serfrioui, au cours de la cérémonie de pose de première pierre de la cimenterie de Makola, dans la communauté urbaine de Hinda, dans le département du Kouilou, à près de 20 km de Pointe-Noire, le 23 mars dernier . Avec un montant prévisionnel de 20milliards de FCFA et une capacité de production de 500.000 tonnes par an, la société marocaine précise que cet investissement est entièrement destiné à couvrir les besoins locaux ; ce qui ne manquera pas, poursuit son Directeur général, Anas Serfrioui, d’avoir des effets positifs sur le prix de ce matériau de construction qui constitue un véritable casse-tête chinois pour l'ensemble de la population congolaise. Pour les emplois directs, Anas Serfrioui, annonce le chiffre de 200.
Mesurant l'intérêt de ces infrastructures industrielles, le ministre d’Etat, ministre du développement industriel et de la promotion du secteur privé congolais , Isidore Mvouba, est conscient que la cimenterie de Dolisie et celle de Makola constituent des cas d'école susceptibles d' attirer d'autres investisseurs potentiels au Congo. « L’autosuffisance en ciments au Congo, une réalité désormais palpable », a-t-il conclu.
Toutes ces activités ont été patronnées par le président Denis Sassou N'Guesso. Une manière pour lui de traduire dans les faits la promesse faite à la population congolaise, lors de son message de nouvel an de 2014. Le président congolais, à cette occasion, s'est résolument engagée à encourager l'industrialisation du pays pour espérer résorber le chômage du présent, demeurer en capacité de créer de nombreux emplois et rendre irréversibles les progrès socio-économiques accomplis.
Avec une enveloppe de plus de 34 milliards de FCFA, la Chine vient de mettre en service la cimenterie Forspak à Dolisie, dans le département du Niari. Selon les prévisions, cette société chinoise entend produire 300.000 tonnes de ciments par an. Une opportunité à la fois pour le gouvernement congolais qui verrait le déficit chronique en ciments trouver une solution définitive et pour la population locale de bénéficier de nombreux emplois directs. Déjà, la direction de de Forspak a annoncé le recrutement de plus de 200 travailleurs supplémentaire pour combler le déficit en main d'œuvre.
Pour sa part, la société marocaine « ciments de l’Afrique » produira son premier sac de ciment au mois d’août 2015. La révélation a été faite par son directeur général, Anas Serfrioui, au cours de la cérémonie de pose de première pierre de la cimenterie de Makola, dans la communauté urbaine de Hinda, dans le département du Kouilou, à près de 20 km de Pointe-Noire, le 23 mars dernier . Avec un montant prévisionnel de 20milliards de FCFA et une capacité de production de 500.000 tonnes par an, la société marocaine précise que cet investissement est entièrement destiné à couvrir les besoins locaux ; ce qui ne manquera pas, poursuit son Directeur général, Anas Serfrioui, d’avoir des effets positifs sur le prix de ce matériau de construction qui constitue un véritable casse-tête chinois pour l'ensemble de la population congolaise. Pour les emplois directs, Anas Serfrioui, annonce le chiffre de 200.
Mesurant l'intérêt de ces infrastructures industrielles, le ministre d’Etat, ministre du développement industriel et de la promotion du secteur privé congolais , Isidore Mvouba, est conscient que la cimenterie de Dolisie et celle de Makola constituent des cas d'école susceptibles d' attirer d'autres investisseurs potentiels au Congo. « L’autosuffisance en ciments au Congo, une réalité désormais palpable », a-t-il conclu.
Toutes ces activités ont été patronnées par le président Denis Sassou N'Guesso. Une manière pour lui de traduire dans les faits la promesse faite à la population congolaise, lors de son message de nouvel an de 2014. Le président congolais, à cette occasion, s'est résolument engagée à encourager l'industrialisation du pays pour espérer résorber le chômage du présent, demeurer en capacité de créer de nombreux emplois et rendre irréversibles les progrès socio-économiques accomplis.
