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Gabon : L’Union européenne accorde 17 milliards de FCFA pour la promotion de la pêche
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Le Gabon et l’Union européenne (UE) ont abouti à la signature d’accord sur le développement et la transformation de la pêche au Gabon. D’une valeur de 17 milliards de FCFA, il a été signé le 10 février dernier à Libreville par le ministre gabonais de l’Agriculture, Biendi Maganga Moussavou, et l’ambassadrice de l’UE au Gabon, Mme Rosario Bento Pais. Il intervient dans un contexte marqué par la prise en compte de la protection de l’environnement marin.
D’une période de six ans, cet accord autorise les navires de l’UE venant d’Espagne et de France, à pêcher dans les eaux maritimes gabonaises. Contrairement à la situation antérieure, le Gabon veut que tous les bateaux qui viennent pêcher sur ses eaux gabonaises acceptent de débarquer à Libreville et investissent dans la filière, afin de générer un développement industriel. Par ailleurs, ce partenariat marque le début d’un long processus permettant de préserver et de mieux gérer les énormes ressources halieutiques dont dispose le Gabon. Il permettra également de développer la transformation locale des produits tels que le thon et de renforcer les activités de pêche.
A cet effet, la logique du pilier Gabon Bleu porte sur la valorisation le potentiel halieutique du pays. « Il faut préserver notre écosystème marin, faire en sorte que nous nous inscrivions dans une pêche durable et faire en sorte que les retombés de la pêche soient plus sensibles et plus visibles au Gabon, pour l’industrie gabonaise, pour les emplois gabonais, pour la création de richesse au Gabon », a rappelé le ministre Biendi Magnaga Moussavou.
Avec cet accord, le Gabon va véritablement se lancer dans la promotion de l’industrialisation de sa filière pêche. Mme Rosario Bento Pais précise qu’il est différent des autres accords de pêche, en ce sens qu’il a une particularité de gouvernance des océans, de protection de l’environnement et des espèces.
D’une période de six ans, cet accord autorise les navires de l’UE venant d’Espagne et de France, à pêcher dans les eaux maritimes gabonaises. Contrairement à la situation antérieure, le Gabon veut que tous les bateaux qui viennent pêcher sur ses eaux gabonaises acceptent de débarquer à Libreville et investissent dans la filière, afin de générer un développement industriel. Par ailleurs, ce partenariat marque le début d’un long processus permettant de préserver et de mieux gérer les énormes ressources halieutiques dont dispose le Gabon. Il permettra également de développer la transformation locale des produits tels que le thon et de renforcer les activités de pêche.
A cet effet, la logique du pilier Gabon Bleu porte sur la valorisation le potentiel halieutique du pays. « Il faut préserver notre écosystème marin, faire en sorte que nous nous inscrivions dans une pêche durable et faire en sorte que les retombés de la pêche soient plus sensibles et plus visibles au Gabon, pour l’industrie gabonaise, pour les emplois gabonais, pour la création de richesse au Gabon », a rappelé le ministre Biendi Magnaga Moussavou.
Avec cet accord, le Gabon va véritablement se lancer dans la promotion de l’industrialisation de sa filière pêche. Mme Rosario Bento Pais précise qu’il est différent des autres accords de pêche, en ce sens qu’il a une particularité de gouvernance des océans, de protection de l’environnement et des espèces.
