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Les conséquences de la crise au Mali
Des combattants du groupe islamiste Ansar Dine, à Kidar, au nord du Mali, le 7 août 2012 afp.com/Romaric Hien
Dans notre précédent article où nous faisions allusion des attaques de ressortissants Algériens contre des subsahariens, nous avions demandés aux Africains au sud du Sahara de redoubler de vigilance et d’éviter de se retrouver dans les milieux à haute concentration maghrébine notamment Algérienne.
L’opération policière française du 5 février à paris en France, qui avait conduit à l’arrestation de quatre membres d’une cellule dormante des extrémistes islamistes confirme notre crainte sur les méandres de ces nébuleuses obsédées de crimes et de barbarie. Nous en appelons au redoublement de la vigilance et demandons de signaler aux autorités compétentes tout comportement suspect, il en va de la sécurité de notre pays et nos populations. Ces quatre individus étaient arrêtés suite aux informations recueillies après l’arrestation à Niamey au Niger d’un autre Français en route pour rejoindre les extrémistes au Mali. La prudence doit être de rigueur partout et les pays du sahel engagés dans la lutte contre les terroristes.
Les services de sécurité de notre pays et ceux des pays voisins doivent travailler de concert pour éviter le piège du terrorisme. L’engagement de notre pays au Mali ouvrira certainement la porte aux velléités de représailles contre les institutions de la république. Le temps à la vigilance et aux resserrements de contrôle sont d’actualité. Nous avons déjà à nos portes Boko haram qui agi sauvagement dans l’état voisin de Bornou au Nigeria. Entre Maiduguri et Ndjamena, la passerelle n’est pas infranchissable, seules la compétence et la vigilance de tous nos services de sécurité et la collaboration de la population pourraient démasquer des éventuels mouvements suspects.
Au Ministre de l’immigration et de la sécurité publique, nous demandons la mise urgente sur pied d’une unité de chiens renifleurs pour les contrôles aux frontières. Nous ne devrons pas attendre l’irréparable pour agir. Le renforcement des unités protégeant les sites sensibles doit être revu à la hausse. La prévention est le meilleur des remèdes. Enfin, nommer des hommes compétents à la place qu’il faut, car il en va de notre sécurité loin des considérations subjectives et du népotisme. Alwihda info demande à toute la presse publique et privée de s’impliquer dans la sensibilisation contre le danger du terrorisme extrémistes et ses cohortes de fanatiques obnubilés par la violence, la sauvagerie et l’effusion de sang des innocentes personnes au nom d’une cause qui n’a rien a voir avec la religion, mais plus tôt liée aux narco trafiques et aux enlèvements contre rançon.
Il est grand temps, que la presse internationale et les différents services de sécurité cessent de qualifier ces individus d’islamistes. Ces derniers en véritables trafiquants et bandits de grand chemin, utilisent le prête-nom d’islamiste et le djihad pour s’attirer la sympathie et fédérer les populations autour de leur projet nébuleux. En les qualifiant de bandits, de trafiquants de drogues et de kidnappeurs contre rançon, ont les remets dans leur véritable contexte.
Moussa Guetane M
L’opération policière française du 5 février à paris en France, qui avait conduit à l’arrestation de quatre membres d’une cellule dormante des extrémistes islamistes confirme notre crainte sur les méandres de ces nébuleuses obsédées de crimes et de barbarie. Nous en appelons au redoublement de la vigilance et demandons de signaler aux autorités compétentes tout comportement suspect, il en va de la sécurité de notre pays et nos populations. Ces quatre individus étaient arrêtés suite aux informations recueillies après l’arrestation à Niamey au Niger d’un autre Français en route pour rejoindre les extrémistes au Mali. La prudence doit être de rigueur partout et les pays du sahel engagés dans la lutte contre les terroristes.
Les services de sécurité de notre pays et ceux des pays voisins doivent travailler de concert pour éviter le piège du terrorisme. L’engagement de notre pays au Mali ouvrira certainement la porte aux velléités de représailles contre les institutions de la république. Le temps à la vigilance et aux resserrements de contrôle sont d’actualité. Nous avons déjà à nos portes Boko haram qui agi sauvagement dans l’état voisin de Bornou au Nigeria. Entre Maiduguri et Ndjamena, la passerelle n’est pas infranchissable, seules la compétence et la vigilance de tous nos services de sécurité et la collaboration de la population pourraient démasquer des éventuels mouvements suspects.
Au Ministre de l’immigration et de la sécurité publique, nous demandons la mise urgente sur pied d’une unité de chiens renifleurs pour les contrôles aux frontières. Nous ne devrons pas attendre l’irréparable pour agir. Le renforcement des unités protégeant les sites sensibles doit être revu à la hausse. La prévention est le meilleur des remèdes. Enfin, nommer des hommes compétents à la place qu’il faut, car il en va de notre sécurité loin des considérations subjectives et du népotisme. Alwihda info demande à toute la presse publique et privée de s’impliquer dans la sensibilisation contre le danger du terrorisme extrémistes et ses cohortes de fanatiques obnubilés par la violence, la sauvagerie et l’effusion de sang des innocentes personnes au nom d’une cause qui n’a rien a voir avec la religion, mais plus tôt liée aux narco trafiques et aux enlèvements contre rançon.
Il est grand temps, que la presse internationale et les différents services de sécurité cessent de qualifier ces individus d’islamistes. Ces derniers en véritables trafiquants et bandits de grand chemin, utilisent le prête-nom d’islamiste et le djihad pour s’attirer la sympathie et fédérer les populations autour de leur projet nébuleux. En les qualifiant de bandits, de trafiquants de drogues et de kidnappeurs contre rançon, ont les remets dans leur véritable contexte.
Moussa Guetane M
