"Quand les gens parlent de la refondation de l'État, moi je parle de la refondation de l'école tchadienne. Il nous faut une autre approche. Je crois que nous sommes arrivés à nos limites. Le facteur n°1 du développement d'un pays c'est l'éducation. Le deuxième pilier aussi c'est l'éducation nationale. Le troisième pilier aussi c'est l'éducation nationale. C'est après ça que le reste arrive", explique-t-il.
Et d'ajouter : "tant que nous n'avons pas une formation de qualité, tant que nous n'éduquons pas nos enfants de manière saine, tant qu'on ne met pas les moyens nécessaires pour qu'on ait vraiment une école adaptée au moment où nous sommes, ça ne va pas marcher. Il faut tout changer, y compris avec les enseignements".
Et d'ajouter : "tant que nous n'avons pas une formation de qualité, tant que nous n'éduquons pas nos enfants de manière saine, tant qu'on ne met pas les moyens nécessaires pour qu'on ait vraiment une école adaptée au moment où nous sommes, ça ne va pas marcher. Il faut tout changer, y compris avec les enseignements".