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Tchad : 30 véhicules militaires attendus à Sarh dès ce mardi pour renforcer la sécurité
Des véhicules militaires au Tchad. Illustration © Mahamat Issa Gadaya/Alwihda Info
30 véhicules militaires sont attendus à Sarh dès ce mardi 10 novembre 2020 pour renforcer la sécurité, a annoncé lundi le chef de l'État Idriss Déby lors d'une rencontre avec les chefs militaires du Moyen-Chari.
Le président a été informé des agissements d’un hors la loi répondant au nom de Ramadane qui sévit à Korbol. Il sera démasqué dans sa cachette et neutralisé.
Le président a ordonné au gouverneur de "récupérer toutes les armes de guerre détenues illégalement par les éleveurs".
Selon lui, "il est strictement interdit aux éleveurs de faire paitre leurs bétails au-delà des couloirs de transhumance et les agriculteurs de cultiver à la périphérie de ces couloirs".
"Je ne veux plus de la présence d’un éleveur au Parc National de Manda. La divagation des animaux à l’intérieur dudit Parc est interdite. Tout contrevenant s’exposera à la rigueur de la loi", ajoute Idriss Déby.
Samedi dernier, lors de son séjour à Koumra, Déby a informé de l’envoi dans les prochains jours de 20 véhicules et du renforcement de la zone de défense n° 5 en effectifs pour permettre aux forces de défense et de sécurité de mener à bien leurs missions.
Au Mayo Kebbi Est, les effectifs et moyens militaires militaires vont également être renforcés, a annoncé jeudi le président lors d'une rencontre avec différents responsables des forces de défense et de sécurité à Bongor.
Les forces de défense et de sécurité ont reçu l'ordre de combattre sans ménagement le phénomène des enlèvements contre rançon et les vols de bétails. Elles doivent lever toutes les barrières à l'intérieur des provinces.
Tout officier qui a fait plus de trois ans à son poste sera muté. Ceux qui se sont transformés en éleveurs sont sommés d’arrêter immédiatement ou à défaut, de déposer la tenue.
Le président a été informé des agissements d’un hors la loi répondant au nom de Ramadane qui sévit à Korbol. Il sera démasqué dans sa cachette et neutralisé.
Le président a ordonné au gouverneur de "récupérer toutes les armes de guerre détenues illégalement par les éleveurs".
Selon lui, "il est strictement interdit aux éleveurs de faire paitre leurs bétails au-delà des couloirs de transhumance et les agriculteurs de cultiver à la périphérie de ces couloirs".
"Je ne veux plus de la présence d’un éleveur au Parc National de Manda. La divagation des animaux à l’intérieur dudit Parc est interdite. Tout contrevenant s’exposera à la rigueur de la loi", ajoute Idriss Déby.
Samedi dernier, lors de son séjour à Koumra, Déby a informé de l’envoi dans les prochains jours de 20 véhicules et du renforcement de la zone de défense n° 5 en effectifs pour permettre aux forces de défense et de sécurité de mener à bien leurs missions.
Au Mayo Kebbi Est, les effectifs et moyens militaires militaires vont également être renforcés, a annoncé jeudi le président lors d'une rencontre avec différents responsables des forces de défense et de sécurité à Bongor.
Les forces de défense et de sécurité ont reçu l'ordre de combattre sans ménagement le phénomène des enlèvements contre rançon et les vols de bétails. Elles doivent lever toutes les barrières à l'intérieur des provinces.
Tout officier qui a fait plus de trois ans à son poste sera muté. Ceux qui se sont transformés en éleveurs sont sommés d’arrêter immédiatement ou à défaut, de déposer la tenue.
