Au cours de cette rencontre, les participants ont abordé des thématiques majeures relatives à l’utilisation du misoprostol, reconnu comme un médicament essentiel dans la prévention des complications obstétricales. Les discussions ont porté sur les moyens d'améliorer l’accès à ce traitement jugé crucial pour sauver des vies.
Selon Mme Dougssa Rita, responsable du projet OASIS, les échanges ont été « riches et inspirants ». Elle a souligné que les connaissances partagées durant cet atelier serviront de levier pour renforcer l’usage du misoprostol dans les politiques de santé publique, au bénéfice des populations, en particulier des femmes.
Selon Mme Dougssa Rita, responsable du projet OASIS, les échanges ont été « riches et inspirants ». Elle a souligné que les connaissances partagées durant cet atelier serviront de levier pour renforcer l’usage du misoprostol dans les politiques de santé publique, au bénéfice des populations, en particulier des femmes.
Mme Rita a tenu à remercier les partenaires et intervenants pour le partage de leurs expertises, ainsi que l’ensemble des participants pour leur passion et leur engagement à améliorer la santé reproductive au Tchad. Elle a insisté sur la nécessité de transformer les recommandations issues de cet atelier en actions concrètes ayant un impact durable sur la santé des femmes.
Elle a également encouragé les participants à prolonger cette dynamique au-delà du cadre de l’atelier, afin de faire de la santé maternelle une véritable priorité nationale.
Elle a également encouragé les participants à prolonger cette dynamique au-delà du cadre de l’atelier, afin de faire de la santé maternelle une véritable priorité nationale.