Devant un public d’intellectuels, de journalistes, d’étudiants et d’amoureux de la littérature, l’auteur a dévoilé les motivations profondes de son œuvre. « Ce livre est un miroir tendu à notre jeunesse, une voix pour ceux que l’on n’écoute jamais », a déclaré Emmanuel Djékadom.
Selon lui, ce roman est également « un chant d'espérance, un cri du cœur, un appel vibrant lancé à cette jeunesse désorientée, souvent blessée, parfois perdue dans les tumultes de la vie. Il est une tentative d'insuffler du courage ou d'héroïser cette jeunesse qui manque de plus en plus de confiance suite aux boutades sévères que nous impose la vie. »
Cet événement littéraire a renforcé le lien entre la culture et l’engagement citoyen, prouvant que la littérature demeure une arme de veille et de combat au Tchad.