Au même titre que plusieurs autres intervenants, il met en garde contre la militarisation omniprésente dans la capitale :
"Il faut que le climat soit sain. Dès que vous entrez à N'Djamena, que ce soit par air ou par voie terrestre, la première des choses qu'on voit ce sont des hommes armés. Ça tique carrément les investisseurs. C'est vrai que nous avons une armée forte mais nous ne pouvons pas l'exposer à tous les coins. C'est comme si nous sommes en guerre. Pour des hommes d'affaires, c'est pas bien".