À l'approche de la fête de Tabaski, les prix des béliers et chèvres inquiètent la population de Mao. À l'instar des autres villes du pays, les prix sont jugés excessifs dans le chef-lieu du Kanem, dans un contexte de cherté de vie généralisée qui n'arrange pas les ménages.
Pour de nombreux habitants interrogés ce jeudi, les prix ont augmenté par rapport à l'année dernière. Dans les marchés à bétail, le prix d'un animal varie de 25.000 Fcfa à 80.000 Fcfa.
La hausse est imputée à plusieurs facteurs : la mauvaise campagne pluviométrique et les difficultés d'accès du bétail aux herbes, à en croire les éleveurs. Conséquence : le bétail est nourri avec des tourteaux qui sont couteux.
Pour de nombreux habitants interrogés ce jeudi, les prix ont augmenté par rapport à l'année dernière. Dans les marchés à bétail, le prix d'un animal varie de 25.000 Fcfa à 80.000 Fcfa.
La hausse est imputée à plusieurs facteurs : la mauvaise campagne pluviométrique et les difficultés d'accès du bétail aux herbes, à en croire les éleveurs. Conséquence : le bétail est nourri avec des tourteaux qui sont couteux.