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Tchad : des points de distribution sans eau potable pour la population
Construits depuis plusieurs années, les points de distribution d'eau potable des quartiers et arrondissements, sont dans un état avancé de vétusté. Certains sont abandonnés et d'autres fonctionnement à peine, malgré le besoin en quantité d'eau potable. A l'approche de ces points de distribution d'eau potable, pour la plupart fermés, un environnement insalubre s'observe. La pollution y règne dans ces endroits, pour la plupart transformés en des lieux de loisirs et de dortoirs pour les personnes sans-abris. Plusieurs raisons sont avancées par les agents distributeurs.
« Nous venons de réouvrir il y a quelques jours seulement. Depuis trois mois, il était fermé », nous renseigne un agent distributeur au quartier Miliezi. De même, à Chagoua, un point vient d’être rouvert après plusieurs passé. C’est ainsi que la directrice générale de la Société Tchadienne des Eaux (STE), Koubra Hisseine Itno, reconnait que la population est privée d’eau potable. Pour elle, il n’y a pas de problème d’eau potable dans la ville, c’est la vétusté des installations qui date de plusieurs années.
L’autre fait à relever, porte sur l’accroissement de la population de la capitale et certains périphériques ne sont pas connectés au réseau de la société tchadienne des eaux. « C’est le manque de pression d’eau qui ne permet pas à la population de s’approvisionner normalement en eau potable », reconnait, Koubra Hisseine Itno, avant de poursuivre que les habitants doivent se rapprocher des services techniques de la STE pour signaler leurs besoins en branchement. « A Ndjamena, ceux qui se trouvent dans une zone en amont, trouvent de l’eau potable rapidement mais, ceux qui sont en aval ont ce précieux liquide tardivement », poursuit la directrice de STE. Ainsi donc, il reste beaucoup à faire et les habitants doivent signaler tous les problèmes auxquels ils font face, afin que les techniciens descendent sur le terrain et procéder aux dépannages.
Une réduction de 50% sur les nouveaux branchements
Pour faciliter l’accès à l’eau, la direction générale de la STE a mis des mesures exceptionnelles au profit de la population, visant à favoriser l’accès à l’eau potable sur l’ensemble de ses centres d’exploitation pendant une période n’excédant pas deux semaines. « Il s’agit d’une réduction de 50% sur le coût de réalisation des nouveaux branchements ; de l’assouplissement des conditions de la mise conformité des branchements ou abonnements en situation irrégulières (fraudes, impayés, problèmes de compteurs etc. », note un communiqué de presse.
Malgré cette situation difficile d’accès à l’eau potable à travers la ville, la direction rappelle que les services techniques sont toujours disponibles pour recevoir toutes les doléances et prêts à se déplacer pour résoudre les problèmes liés aux branchements des tiers ou des installations hydrauliques du réseau de distribution. Et le problème n’est pas seulement à N’Djamena, mais aussi dans certaines villes comme Pala, Fianga, Abéché et Biltine. Selon la directrice, les dispositions sont en train d’être prises pour résoudre le problème. « Il y aura des dotations en carburant pour ces villes, dans les jours avenir et tout va rentrer dans l’ordre », dit-elle, des zones comme Abéché et Biltine, n’ayant pas toujours d’eau en quantité pour la population.
« Nous venons de réouvrir il y a quelques jours seulement. Depuis trois mois, il était fermé », nous renseigne un agent distributeur au quartier Miliezi. De même, à Chagoua, un point vient d’être rouvert après plusieurs passé. C’est ainsi que la directrice générale de la Société Tchadienne des Eaux (STE), Koubra Hisseine Itno, reconnait que la population est privée d’eau potable. Pour elle, il n’y a pas de problème d’eau potable dans la ville, c’est la vétusté des installations qui date de plusieurs années.
L’autre fait à relever, porte sur l’accroissement de la population de la capitale et certains périphériques ne sont pas connectés au réseau de la société tchadienne des eaux. « C’est le manque de pression d’eau qui ne permet pas à la population de s’approvisionner normalement en eau potable », reconnait, Koubra Hisseine Itno, avant de poursuivre que les habitants doivent se rapprocher des services techniques de la STE pour signaler leurs besoins en branchement. « A Ndjamena, ceux qui se trouvent dans une zone en amont, trouvent de l’eau potable rapidement mais, ceux qui sont en aval ont ce précieux liquide tardivement », poursuit la directrice de STE. Ainsi donc, il reste beaucoup à faire et les habitants doivent signaler tous les problèmes auxquels ils font face, afin que les techniciens descendent sur le terrain et procéder aux dépannages.
Une réduction de 50% sur les nouveaux branchements
Pour faciliter l’accès à l’eau, la direction générale de la STE a mis des mesures exceptionnelles au profit de la population, visant à favoriser l’accès à l’eau potable sur l’ensemble de ses centres d’exploitation pendant une période n’excédant pas deux semaines. « Il s’agit d’une réduction de 50% sur le coût de réalisation des nouveaux branchements ; de l’assouplissement des conditions de la mise conformité des branchements ou abonnements en situation irrégulières (fraudes, impayés, problèmes de compteurs etc. », note un communiqué de presse.
Malgré cette situation difficile d’accès à l’eau potable à travers la ville, la direction rappelle que les services techniques sont toujours disponibles pour recevoir toutes les doléances et prêts à se déplacer pour résoudre les problèmes liés aux branchements des tiers ou des installations hydrauliques du réseau de distribution. Et le problème n’est pas seulement à N’Djamena, mais aussi dans certaines villes comme Pala, Fianga, Abéché et Biltine. Selon la directrice, les dispositions sont en train d’être prises pour résoudre le problème. « Il y aura des dotations en carburant pour ces villes, dans les jours avenir et tout va rentrer dans l’ordre », dit-elle, des zones comme Abéché et Biltine, n’ayant pas toujours d’eau en quantité pour la population.
