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Tchad : l’UNET plaide pour l’amélioration des conditions de vie des étudiants
A l'occasion de la célébration du cinquantenaire de l'université de Ndjamena, le secrétaire exécutif de l'UNET, Yaya Barkai Mahamat plaide pour l'amélioration des conditions d'études des étudiants.
En effet, de 1971 à nos jours, l'université de Ndjamena enregistre 50 ans d'existence, au service de la société tchadienne. Plusieurs activités ont eu lieu à la faculté de médecine à Gardolé, pour donner un cachet particulier à cet événement.
Mais l'amélioration des conditions d'études reste un défi à relever. Selon le responsable des étudiants, la question actuelle est la restauration de la bourse universitaire, l’augmentation du nombre de bus et des logements des étudiants. « Nous reconnaissons la volonté des autorités pour les 35 bus, mais beaucoup reste à faire », explique-t-il.
Pour les étudiants, 50 ans d'existence est éventuellement trop marquant : « nous avons eu la chance d'être en contact avec ceux qui ont été le fruit de l'université de Ndjamena », en témoignent-ils. Le côté sombre de cet événement reste que le journal universitaire, « Campus plume » est écarté de l'organisation, selon le directeur de publication, Abel Sadick.
En 50 ans, l'amélioration des conditions d'études reste donc un obstacle pour l’épanouissement des étudiants. Cela dit, l’on porte un doigt accusateur sur le peu de volonté des autorités en charge de l'enseignement supérieur. Mais l’on constate tout de même que la progéniture des autorités du pays n’est pas inscrite à l'université de Ndjamena.
En effet, de 1971 à nos jours, l'université de Ndjamena enregistre 50 ans d'existence, au service de la société tchadienne. Plusieurs activités ont eu lieu à la faculté de médecine à Gardolé, pour donner un cachet particulier à cet événement.
Mais l'amélioration des conditions d'études reste un défi à relever. Selon le responsable des étudiants, la question actuelle est la restauration de la bourse universitaire, l’augmentation du nombre de bus et des logements des étudiants. « Nous reconnaissons la volonté des autorités pour les 35 bus, mais beaucoup reste à faire », explique-t-il.
Pour les étudiants, 50 ans d'existence est éventuellement trop marquant : « nous avons eu la chance d'être en contact avec ceux qui ont été le fruit de l'université de Ndjamena », en témoignent-ils. Le côté sombre de cet événement reste que le journal universitaire, « Campus plume » est écarté de l'organisation, selon le directeur de publication, Abel Sadick.
En 50 ans, l'amélioration des conditions d'études reste donc un obstacle pour l’épanouissement des étudiants. Cela dit, l’on porte un doigt accusateur sur le peu de volonté des autorités en charge de l'enseignement supérieur. Mais l’on constate tout de même que la progéniture des autorités du pays n’est pas inscrite à l'université de Ndjamena.
