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Tchad : la FDJEPAD s'interroge sur l'usage des réseaux sociaux en milieu académique
L'objectif est de sensibiliser et d'informer les étudiants sur les enjeux et les défis des réseaux sociaux dans le milieu estudiantine.
Des questions ont été posées par des étudiants aux panelistes sur les atouts et les contraintes des réseaux sociaux en milieu estudiantin.
Le paneliste Ali Adam Moustapha Maï a expliqué que parmi les missions principales de l'association figure la promotion de l'éducation, la sensibilisation et l'information des jeunes, mais l'engagement en faveur de l'éducation des jeunes filles.
"Les atouts des réseaux sociaux sont beaucoup plus nombreux que ses inconvénients car ils contribuent au développement social, économique, culturel et voir même politique. Depuis leur apparition, les réseaux sociaux contribuent au développement socio-économique d'un pays. À travers ces réseaux, les tchadiens peuvent faire des achats, des publicités, du marketing, des annonces, des communiqués et bien d'autres. Les jeunes tchadiens sont appelés à utiliser ces réseaux sociaux à des fins utiles et non avec un mauvais comportement", a déclaré Ali Adam Moustapha Maï.
Évoquant l'aspect négatif des réseaux sociaux au Tchad, le paneliste Idriss Moussa a déploré la diffusion des fausses informations, la propagation des mauvaises images, vidéos et messages portant atteinte aux droits des personnes et de leurs biens, les propos haineux et la cybercriminalité qui se traduit notamment par le piratage des comptes.
Selon lui, "ceci est dû au manque de conscience de nos jeunes tchadiens".
Pour remédier à ces défis, le président de la FDJEPAD, Hamit Nassour Adam, a affirmé que le choix du thème est justifié par le moment difficile que traverse le Tchad. "Il est bon pour nous d'apporter quelques solutions pour éradiquer la mauvaise utilisation des réseaux sociaux en milieu estudiantin ou par nos jeunes", a-t-il dit.
La FDJEPAD suggère au gouvernement de sensibiliser la jeunesse tchadienne à travers différentes formes de campagnes, mettre sur pied l'éducation stricte au civisme en milieu académique, lutter contre le chômage des jeunes, préserver les droits de l'Homme, organiser un dialogue inclusif entre les tchadiens, et cultiver la paix et le dialogue social.
La société civile et les politiciens sont exhortés à "sensibiliser les jeunes sur l'union et la solidarité pour un Tchad sans haine entre les communautés".
Des questions ont été posées par des étudiants aux panelistes sur les atouts et les contraintes des réseaux sociaux en milieu estudiantin.
Le paneliste Ali Adam Moustapha Maï a expliqué que parmi les missions principales de l'association figure la promotion de l'éducation, la sensibilisation et l'information des jeunes, mais l'engagement en faveur de l'éducation des jeunes filles.
"Les atouts des réseaux sociaux sont beaucoup plus nombreux que ses inconvénients car ils contribuent au développement social, économique, culturel et voir même politique. Depuis leur apparition, les réseaux sociaux contribuent au développement socio-économique d'un pays. À travers ces réseaux, les tchadiens peuvent faire des achats, des publicités, du marketing, des annonces, des communiqués et bien d'autres. Les jeunes tchadiens sont appelés à utiliser ces réseaux sociaux à des fins utiles et non avec un mauvais comportement", a déclaré Ali Adam Moustapha Maï.
Évoquant l'aspect négatif des réseaux sociaux au Tchad, le paneliste Idriss Moussa a déploré la diffusion des fausses informations, la propagation des mauvaises images, vidéos et messages portant atteinte aux droits des personnes et de leurs biens, les propos haineux et la cybercriminalité qui se traduit notamment par le piratage des comptes.
Selon lui, "ceci est dû au manque de conscience de nos jeunes tchadiens".
Pour remédier à ces défis, le président de la FDJEPAD, Hamit Nassour Adam, a affirmé que le choix du thème est justifié par le moment difficile que traverse le Tchad. "Il est bon pour nous d'apporter quelques solutions pour éradiquer la mauvaise utilisation des réseaux sociaux en milieu estudiantin ou par nos jeunes", a-t-il dit.
La FDJEPAD suggère au gouvernement de sensibiliser la jeunesse tchadienne à travers différentes formes de campagnes, mettre sur pied l'éducation stricte au civisme en milieu académique, lutter contre le chômage des jeunes, préserver les droits de l'Homme, organiser un dialogue inclusif entre les tchadiens, et cultiver la paix et le dialogue social.
La société civile et les politiciens sont exhortés à "sensibiliser les jeunes sur l'union et la solidarité pour un Tchad sans haine entre les communautés".
