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Pour l'organisation, "ceci est vide de tout sens au regard de cette décision. La loi doit primer pour faire cesser ce désordre car elle prime sur la coutume et les décisions religieuses".
La pratique est encadrée comme suit :
1 - La femme elle-même peut demander à un homme de son choix de la marier. S'il accepte, il paiera le 1/4 du dinar qui est l'équivalence de 35.000 Fcfa :
2 - S'il refuse, il paiera un forfait de 100.000 Fcfa :
3 - Si une femme sollicitée pour le mariage refuse, elle paiera une amende de 15.000 Fcfa ;
4 - Celle qui refuse sciemment paiera une amende de 25000 Fcfa ;
5 - Si une femme "illicite" (en arabe tchadien : harmana) se marie juste pour se rendre licite afin de retourner à son premier mari, elle paiera 150.000 Fcfa d'amende au dernier mari ;
6- Celle qui indispose son nouveau mari avec des histoires liées au premier mari, afin qu'il l'abandonne, recevra une amende de 50.000 Fcfa.
La LTDF affirme que "c'est purement un mariage forcé. Ces textes ne peuvent pas entrer en vigueur car cela voudrait tout simplement dire qu'ils défient les textes de loi. Les chefs coutumiers et religieux ne doivent pas abuser de leurs autorités".
La pratique est encadrée comme suit :
1 - La femme elle-même peut demander à un homme de son choix de la marier. S'il accepte, il paiera le 1/4 du dinar qui est l'équivalence de 35.000 Fcfa :
2 - S'il refuse, il paiera un forfait de 100.000 Fcfa :
3 - Si une femme sollicitée pour le mariage refuse, elle paiera une amende de 15.000 Fcfa ;
4 - Celle qui refuse sciemment paiera une amende de 25000 Fcfa ;
5 - Si une femme "illicite" (en arabe tchadien : harmana) se marie juste pour se rendre licite afin de retourner à son premier mari, elle paiera 150.000 Fcfa d'amende au dernier mari ;
6- Celle qui indispose son nouveau mari avec des histoires liées au premier mari, afin qu'il l'abandonne, recevra une amende de 50.000 Fcfa.
La LTDF affirme que "c'est purement un mariage forcé. Ces textes ne peuvent pas entrer en vigueur car cela voudrait tout simplement dire qu'ils défient les textes de loi. Les chefs coutumiers et religieux ne doivent pas abuser de leurs autorités".