Le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Abderaman Koulamallah, est revenu ce dimanche sur la manifestation de Wakit Tamma contre la présence militaire française. S'exprimant à la Télévision nationale, il a affirmé que "la liberté d'expression et le droit de manifester sont des droits constitutionnels" mais qu'il "faut en faire un bon usage".
"Nous sommes l'un des rares pays d'Afrique à autoriser ce droit. Vous avez le droit de manifester, de dire que vous n'aimez pas la France mais pourquoi vouloir substituer une puissance à une autre ? Est-ce qu'ils sont allés demander l'avis à la Russie ? Ce qui s'est passé hier est extrêmement grave. Les gens se sont attaqués à des biens publics et privés", a réagi le ministre.
"Si vous voulez manifester, faites-le de manière pacifique. Les gens vont répondre de leurs actes. Maintenant, ce n'est pas la peine de pleurnicher sur les réseaux sociaux en disant qu'il faut libérer X ou Y", a souligné Abderaman Koulamallah.
"Nous sommes l'un des rares pays d'Afrique à autoriser ce droit. Vous avez le droit de manifester, de dire que vous n'aimez pas la France mais pourquoi vouloir substituer une puissance à une autre ? Est-ce qu'ils sont allés demander l'avis à la Russie ? Ce qui s'est passé hier est extrêmement grave. Les gens se sont attaqués à des biens publics et privés", a réagi le ministre.
"Si vous voulez manifester, faites-le de manière pacifique. Les gens vont répondre de leurs actes. Maintenant, ce n'est pas la peine de pleurnicher sur les réseaux sociaux en disant qu'il faut libérer X ou Y", a souligné Abderaman Koulamallah.