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Tchad : le gouvernement réagit au rapport de HRW
Le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Chérif Mahamat Zene, a réagi le 9 avril au rapport sur le Tchad d’Human Rights Watch (HRW).
Selon le ministre de la Communication, les informations de ce communiqué sont mensongères et HRW n’a pas des sources valables pour certifier ses informations. Il estime que HRW s'est basée sur des témoignages anonymes rapportant des faits imprécis au mépris de la vérité.
Pour lui, HRW accuse notamment les autorités et les forces de l'ordre de faits graves comme la torture, la répression illégal de manifestations ou la manipulation du processus électoral. Il ajoute que le document laisse entendre que la population est réprimée lors des manifestations, ce qui est loin de la réalité. Le ministre affirme que les forces de l'ordre ne font que maintenir l'ordre public car d'après lui, il y a des groupes de personnes qui causent des troubles à l'ordre public, contrairement aux critères de la manifestation pacifique.
Cherif Mahamat Zene précise « qu'en ce qui concerne le cas de Yaya Dillo présenté comme opposant politique, il convient de mettre les choses dans leur contexte ». D'après lui, Yaya Dillo n'a jamais été un opposant politique. Il ajoute que conformément à la loi, il ne dispose pas du statut d'un opposant.
S’agissant du retrait de candidats à la présidentielle, le ministre affirme que ce n'était qu'un prétexte parce qu'ils « étaient conscient de leur défaite à plate couture ».
Le gouvernement dit dénoncer la « manœuvre déguisée de HRW en vue de minimiser les efforts du gouvernement dans le cadre du processus électoral ». Il rappelle qu'aucune ingérence extérieure, ni atteinte à la souveraineté du Tchad ne seront tolérées. « Le gouvernement continuera à assumer pleinement les prérogatives régaliennes en matière de maintien de l'ordre », souligne Cherif Mahamat Zene.
Selon le ministre de la Communication, les informations de ce communiqué sont mensongères et HRW n’a pas des sources valables pour certifier ses informations. Il estime que HRW s'est basée sur des témoignages anonymes rapportant des faits imprécis au mépris de la vérité.
Pour lui, HRW accuse notamment les autorités et les forces de l'ordre de faits graves comme la torture, la répression illégal de manifestations ou la manipulation du processus électoral. Il ajoute que le document laisse entendre que la population est réprimée lors des manifestations, ce qui est loin de la réalité. Le ministre affirme que les forces de l'ordre ne font que maintenir l'ordre public car d'après lui, il y a des groupes de personnes qui causent des troubles à l'ordre public, contrairement aux critères de la manifestation pacifique.
Cherif Mahamat Zene précise « qu'en ce qui concerne le cas de Yaya Dillo présenté comme opposant politique, il convient de mettre les choses dans leur contexte ». D'après lui, Yaya Dillo n'a jamais été un opposant politique. Il ajoute que conformément à la loi, il ne dispose pas du statut d'un opposant.
S’agissant du retrait de candidats à la présidentielle, le ministre affirme que ce n'était qu'un prétexte parce qu'ils « étaient conscient de leur défaite à plate couture ».
Le gouvernement dit dénoncer la « manœuvre déguisée de HRW en vue de minimiser les efforts du gouvernement dans le cadre du processus électoral ». Il rappelle qu'aucune ingérence extérieure, ni atteinte à la souveraineté du Tchad ne seront tolérées. « Le gouvernement continuera à assumer pleinement les prérogatives régaliennes en matière de maintien de l'ordre », souligne Cherif Mahamat Zene.
