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Tchad : le ras-le-bol de la CASAC contre les "ennemis de la paix"
Lors d’un meeting tenu ce samedi soir au quartier Ndjari, situé dans le 8ème Arrondissement de N’Djaména, le Président de la Coalisation des Associations de la Société Civile pour l’Action Citoyenne (CASAC), MAHAMOUD ALI SEID, a brisé le silence et est monté sur son piédestal pour mettre en garde ceux qu’ils appellent « les ennemis de la paix ».
Le message de MAHAMOUD ALI SEID est bien limpide. Et s’adresse aux jeunes tchadiens. Pour lui, le Tchad a deux ennemis « d’un côté, certains groupuscules qui ne représentent d’ailleurs que le fameux caillou dans la chaussure, et de l’autre côté, des djihadistes extrémistes et autres trafiquants de drogues ». Ceux-là, la CASAC estime que leur leitmotiv, c’est la destruction.
« Certaines associations de la société civiles et autres activistes, en intelligence pour certains, avec les djihadistes et trafiquants de drogues, cherchent à pousser la population à descendre dans les rues, pour casser et détruire la paix », affirme le président de la CASAC, qui martèle que le peuple tchadien n’est plus prêt pour détruire son pays. Il pointe du doigt également l’opposition, tout en les avisant : « Ces opposants doivent se rendre à l’évidence que leur heure n’est pas encore arrivée, et qu’aucune manœuvre dilatoire de déstabilisation ne passera ».
MAHAMOUD ALI SEID n’a pas raté les rebelles : « Quant aux ennemis extérieurs de notre pays, notamment les djihadistes et autres trafiquants, qu’ils sachent que le peuple Tchadien est suffisamment mature, et il ne leur accordera d’ailleurs, aucun crédit. Nous les attendons à l’usure. Nous nous dresserons pour leur infliger des défaites cuisantes ». Les activistes à l’exil ne sont pas non plus perdus de vue : « Certains perturbateurs, en mal d’existence, choisissent de verser leurs haines et leurs complots contre notre pays sur la toile ».
Dans tout cela, la CASAC ne demande que la paix et la quiétude dans un contexte particulièrement difficile : « Face à la conjoncture économique actuelle, difficile bien évidemment, l’unité du peuple Tchadien est un impératif nécessaire à tout point de vue ». Pas seulement. Il plaide aussi pour la pérennisation de la paix : « La paix sociale doit être protégée à tout prix, c’est pourquoi, nous demandons à toute la population d’être vigilante, pour ne pas retomber dans les déchirements qu’a connus notre pays durant les décennies passées ».
C’est pourquoi MAHAMOUD ALI SEID demande à toute la jeunesse tchadienne de demeurer vigilante afin « d’éviter la violence et surtout d’éviter de tomber dans les manipulations ourdis par les opposants, et qui sont aidés en cela, par les activistes de l’extérieur ; ces activistes qui font des réseaux sociaux, des outils de délation, d’intox, d’embrigadement et d’instrumentalisation, etc. ». Et pour cela il exhorte les jeunes à une prise de conscience. Ainsi, « la jeunesse doit savoir que son salut se trouve dans le travail, la persévérance et le refus systématique de la violence ». Dans cet élan, le président de la CASAC affirme, au nom de toute la société civile du Tchad, qu’ils soutiendront toutes actions nobles que pose le président de la République la préservation de la paix.
Le message de MAHAMOUD ALI SEID est bien limpide. Et s’adresse aux jeunes tchadiens. Pour lui, le Tchad a deux ennemis « d’un côté, certains groupuscules qui ne représentent d’ailleurs que le fameux caillou dans la chaussure, et de l’autre côté, des djihadistes extrémistes et autres trafiquants de drogues ». Ceux-là, la CASAC estime que leur leitmotiv, c’est la destruction.
« Certaines associations de la société civiles et autres activistes, en intelligence pour certains, avec les djihadistes et trafiquants de drogues, cherchent à pousser la population à descendre dans les rues, pour casser et détruire la paix », affirme le président de la CASAC, qui martèle que le peuple tchadien n’est plus prêt pour détruire son pays. Il pointe du doigt également l’opposition, tout en les avisant : « Ces opposants doivent se rendre à l’évidence que leur heure n’est pas encore arrivée, et qu’aucune manœuvre dilatoire de déstabilisation ne passera ».
MAHAMOUD ALI SEID n’a pas raté les rebelles : « Quant aux ennemis extérieurs de notre pays, notamment les djihadistes et autres trafiquants, qu’ils sachent que le peuple Tchadien est suffisamment mature, et il ne leur accordera d’ailleurs, aucun crédit. Nous les attendons à l’usure. Nous nous dresserons pour leur infliger des défaites cuisantes ». Les activistes à l’exil ne sont pas non plus perdus de vue : « Certains perturbateurs, en mal d’existence, choisissent de verser leurs haines et leurs complots contre notre pays sur la toile ».
Dans tout cela, la CASAC ne demande que la paix et la quiétude dans un contexte particulièrement difficile : « Face à la conjoncture économique actuelle, difficile bien évidemment, l’unité du peuple Tchadien est un impératif nécessaire à tout point de vue ». Pas seulement. Il plaide aussi pour la pérennisation de la paix : « La paix sociale doit être protégée à tout prix, c’est pourquoi, nous demandons à toute la population d’être vigilante, pour ne pas retomber dans les déchirements qu’a connus notre pays durant les décennies passées ».
C’est pourquoi MAHAMOUD ALI SEID demande à toute la jeunesse tchadienne de demeurer vigilante afin « d’éviter la violence et surtout d’éviter de tomber dans les manipulations ourdis par les opposants, et qui sont aidés en cela, par les activistes de l’extérieur ; ces activistes qui font des réseaux sociaux, des outils de délation, d’intox, d’embrigadement et d’instrumentalisation, etc. ». Et pour cela il exhorte les jeunes à une prise de conscience. Ainsi, « la jeunesse doit savoir que son salut se trouve dans le travail, la persévérance et le refus systématique de la violence ». Dans cet élan, le président de la CASAC affirme, au nom de toute la société civile du Tchad, qu’ils soutiendront toutes actions nobles que pose le président de la République la préservation de la paix.
