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Tchad : une stratégie régionale de plaidoyer humanitaire pour le Sahel
Cette stratégie vise à favoriser la participation et le leadership des femmes et des jeunes dans la gestion de la crise alimentaires au Sahel, transformer la pertinence et l'impact de la réponse, et renforcer la résilience de la population affectée pour un développement durable post-conflit.
« Elle permet de manière spécifique aux populations affectées d'avoir un accès sûr et amélioré, à l'aide humanitaire, fournie aux populations affectées notamment les femmes et les filles, rendre effectif le leadership des femmes et des jeunes au cœur de tous les efforts de préparation et de réponse humanitaire ainsi que dans la gestion poste crise », explique Baidebne Joel Tchocké, le chargé de plaidoyer et communication de Care international.
Pour lui, la crise au Sahel se présente en deux volets : alimentaire et sécuritaire. La crise alimentaire est relative à la mauvaise répartition climatique qui rend vulnérables la population et la crise sécuritaire est due à la montée en puissance de l'extrémisme violant et la pandémie de Covid-19 et le non-respect du principe humanitaire de droit de l'Homme.
Pour le directeur pays de Care International, le plaidoyer humanitaire est une priorité institutionnelle pour atteindre un impact à grande échelle. « L'expérience de Care a démontré que la performance des réponses humanitaires en termes d'intégration et de sensibilisation à la problématique du genre dépend aussi du niveau d'expertise et de compétences des acteurs humanitaires », a indiqué Jean Michel Vigreux.
Pour pallier à ce manquement, la qualité des financements est tout aussi critique que leur quantité pour renforcer la participation des organisations féminines et le processus de localisation et ainsi, mieux répondre aux besoins des populations.
« L'utilisation des fonds doit être suffisamment flexible en termes de gestion budgétaire pour pouvoir rapidement adapter la réponse humanitaire aux changements de situation ainsi qu'à la fluidité et complexité du contexte humanitaire au Sahel », recommande le directeur de Care International.
« Conjuguons nos efforts pour qu’ensemble nous puissions promouvoir le leadership des femmes dans la gestion des crises au Sahel pour éradiquer les causes profondes de la pauvreté et de l’injustice sociale, afin de promouvoir une société où règne la justice sociale, l’équité et la solidarité », sollicite-t-il.
« Elle permet de manière spécifique aux populations affectées d'avoir un accès sûr et amélioré, à l'aide humanitaire, fournie aux populations affectées notamment les femmes et les filles, rendre effectif le leadership des femmes et des jeunes au cœur de tous les efforts de préparation et de réponse humanitaire ainsi que dans la gestion poste crise », explique Baidebne Joel Tchocké, le chargé de plaidoyer et communication de Care international.
Pour lui, la crise au Sahel se présente en deux volets : alimentaire et sécuritaire. La crise alimentaire est relative à la mauvaise répartition climatique qui rend vulnérables la population et la crise sécuritaire est due à la montée en puissance de l'extrémisme violant et la pandémie de Covid-19 et le non-respect du principe humanitaire de droit de l'Homme.
Pour le directeur pays de Care International, le plaidoyer humanitaire est une priorité institutionnelle pour atteindre un impact à grande échelle. « L'expérience de Care a démontré que la performance des réponses humanitaires en termes d'intégration et de sensibilisation à la problématique du genre dépend aussi du niveau d'expertise et de compétences des acteurs humanitaires », a indiqué Jean Michel Vigreux.
Pour pallier à ce manquement, la qualité des financements est tout aussi critique que leur quantité pour renforcer la participation des organisations féminines et le processus de localisation et ainsi, mieux répondre aux besoins des populations.
« L'utilisation des fonds doit être suffisamment flexible en termes de gestion budgétaire pour pouvoir rapidement adapter la réponse humanitaire aux changements de situation ainsi qu'à la fluidité et complexité du contexte humanitaire au Sahel », recommande le directeur de Care International.
« Conjuguons nos efforts pour qu’ensemble nous puissions promouvoir le leadership des femmes dans la gestion des crises au Sahel pour éradiquer les causes profondes de la pauvreté et de l’injustice sociale, afin de promouvoir une société où règne la justice sociale, l’équité et la solidarité », sollicite-t-il.
