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Congo/Infrastructures : poursuite du programme de désenclavement du département de la cuvette-Ouest
Journée de travail très chargée pour le président Denis Sassou N’Guesso, ce 17 mai, partagée à la fois entre un soleil ardent et une pluie qui a surpris à plus d’un titre les populations de la cuvette-ouest qui célébraient la fête de ses routes. Il s’agit principalement de l’inauguration de la route Makoua-Etoumbi et du lancement des travaux de construction de la route Etoumbi-Mbomo-MBoko ainsi que du pont sur la rivière Likouala aux herbes par le président Denis Sassou N’Guesso.
Selon le ministre de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux, par le biais de ces routes, l’option pour le gouvernement est d’ouvrir le département de la cuvette-Ouest, au reste du pays, de fluidifier les échanges physiques et de dynamiser les rapports intercommunautaires. Et finalement, a poursuivi Jean jacques Bouya, faire jouer à ce département « toute sa partition, dans la vocation de transit des hommes, des biens, et des marchandises, tant vouée au Congo. »
Calibrés pour une durée de 36 mois, les travaux de la route Etoumbi-Mbomo-Mboko seraient évalués à 91 milliards 272 millions de FCFA pour les 96km de route et 10 milliards 153 millions de FCFA pour le pont en béton armé de 108km sur la rivière Likouala aux herbes, a indiqué le ministre congolais. Tout en ayant des structures et des chaussées identiques à la route Makoua-Etoumbi, la poursuite de ce tronçon, a-t-il souligné, serait une réponse que les populations de la cuvette-ouest attendaient des pouvoirs publics.
Un grand motif de satisfaction pour ces dernières, car, a précisé Jean jacques Bouya, il fallait près de 65km de marche et braver une crue exceptionnelle jamais atteinte depuis 100 ans sur la Likouala aux herbes pour atteindre Etoumbi. En attendant la fin des travaux prévue en 2017, le gouvernement ne tarit pas d’éloges à l’endroit du président Sassou N’Guesso : « Nous voyons la conscience tranquille d’un bâtisseur qui cumule à son actif, et à chaque levée de soleil, des performances jamais atteintes, en termes de Km de bitume, de ligne THT, de mégawatt d’électricité, de m3 d’eau, de m2 de surfaces bâties »
Bretelle de la route nationale numéro deux , la liaison de la route Makoua-Etoumbi distante de 98km inaugurée par le président Denis Sassou N’Guesso, à cause du grand ravin d’Etoumbi de 600m de long, n’était assurée que par voie fluviale, pour 12 heures à la descente et 30 à heures à la montée. Selon le ministre congolais de l’aménagement du territoire, ce chantier dont le coup de pelle avait été donné le 17 mai 2009 a mobilisé au total le montant de 76 milliards 141 millions de FCFA dont 71 milliards 938 millions pour la route et 4 milliards 202 millions pour le traitement du ravin.
Fruit d’un combat spectaculaire contre l’hostilité de la nature, la route Makoua-Etoumbi, comme l’a rappelé jean jacques Bouya, revêt une importance économique capitale, car elle offre à la population des « opportunités d’échange avec les autres … » et au ministre de conclure : « la zone, généreusement forestière, aux terres naturellement fertile et qui héberge la plus grande réserve animalière, deviendra assurément, un espace d’échanges, s’arrimant constamment aux mille et une randonnées touristiques et autres curieux, venant des grandes villes du Congo et aussi des pays voisins, sinon d’ailleurs »
En marge de la cérémonie d’inauguration de la routeMakoua-Etoumbi et du lancement des travaux du tronçon Etoumbi-Mbomo-Mboko, le président Denis Sassou N’Guesso a eu une série d’entretiens avec les sages et les notables de la cuvette-Ouest à Etoumbi et ceux de la Cuvette à Owando. Objectif poursuivi : toucher du doigt les réalités de l’arrière-pays, mais les populations n’ont pas manqué de donner leur avis sur le changement de la constitution actuellement en vigueur au Congo qu’elles trouvent dépassée et déconnectée des enjeux du moment.
Selon le ministre de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux, par le biais de ces routes, l’option pour le gouvernement est d’ouvrir le département de la cuvette-Ouest, au reste du pays, de fluidifier les échanges physiques et de dynamiser les rapports intercommunautaires. Et finalement, a poursuivi Jean jacques Bouya, faire jouer à ce département « toute sa partition, dans la vocation de transit des hommes, des biens, et des marchandises, tant vouée au Congo. »
Calibrés pour une durée de 36 mois, les travaux de la route Etoumbi-Mbomo-Mboko seraient évalués à 91 milliards 272 millions de FCFA pour les 96km de route et 10 milliards 153 millions de FCFA pour le pont en béton armé de 108km sur la rivière Likouala aux herbes, a indiqué le ministre congolais. Tout en ayant des structures et des chaussées identiques à la route Makoua-Etoumbi, la poursuite de ce tronçon, a-t-il souligné, serait une réponse que les populations de la cuvette-ouest attendaient des pouvoirs publics.
Un grand motif de satisfaction pour ces dernières, car, a précisé Jean jacques Bouya, il fallait près de 65km de marche et braver une crue exceptionnelle jamais atteinte depuis 100 ans sur la Likouala aux herbes pour atteindre Etoumbi. En attendant la fin des travaux prévue en 2017, le gouvernement ne tarit pas d’éloges à l’endroit du président Sassou N’Guesso : « Nous voyons la conscience tranquille d’un bâtisseur qui cumule à son actif, et à chaque levée de soleil, des performances jamais atteintes, en termes de Km de bitume, de ligne THT, de mégawatt d’électricité, de m3 d’eau, de m2 de surfaces bâties »
Bretelle de la route nationale numéro deux , la liaison de la route Makoua-Etoumbi distante de 98km inaugurée par le président Denis Sassou N’Guesso, à cause du grand ravin d’Etoumbi de 600m de long, n’était assurée que par voie fluviale, pour 12 heures à la descente et 30 à heures à la montée. Selon le ministre congolais de l’aménagement du territoire, ce chantier dont le coup de pelle avait été donné le 17 mai 2009 a mobilisé au total le montant de 76 milliards 141 millions de FCFA dont 71 milliards 938 millions pour la route et 4 milliards 202 millions pour le traitement du ravin.
Fruit d’un combat spectaculaire contre l’hostilité de la nature, la route Makoua-Etoumbi, comme l’a rappelé jean jacques Bouya, revêt une importance économique capitale, car elle offre à la population des « opportunités d’échange avec les autres … » et au ministre de conclure : « la zone, généreusement forestière, aux terres naturellement fertile et qui héberge la plus grande réserve animalière, deviendra assurément, un espace d’échanges, s’arrimant constamment aux mille et une randonnées touristiques et autres curieux, venant des grandes villes du Congo et aussi des pays voisins, sinon d’ailleurs »
En marge de la cérémonie d’inauguration de la routeMakoua-Etoumbi et du lancement des travaux du tronçon Etoumbi-Mbomo-Mboko, le président Denis Sassou N’Guesso a eu une série d’entretiens avec les sages et les notables de la cuvette-Ouest à Etoumbi et ceux de la Cuvette à Owando. Objectif poursuivi : toucher du doigt les réalités de l’arrière-pays, mais les populations n’ont pas manqué de donner leur avis sur le changement de la constitution actuellement en vigueur au Congo qu’elles trouvent dépassée et déconnectée des enjeux du moment.
