
Cette mesure audacieuse s'inscrit dans une politique de modernisation plus vaste des forces de sécurité. Elle est assortie de règles strictes concernant la réponse rapide aux urgences, une exigence qui a déjà conduit au limogeage de plusieurs chefs de police. L'objectif global est clair : moderniser la police nationale et restaurer la confiance du public.

Une réforme entre admiration et interrogations
Cette réforme ne manque pas de susciter le débat. Si elle est saluée par certains pour son ambition d'améliorer l'efficacité et l'exemplarité des forces de l'ordre, elle soulève également des critiques quant aux limites du contrôle de l'État sur le corps de ses agents.
Et si une telle mesure était envisagée dans nos pays africains ? Serait-elle perçue comme une exigence légitime de performance, ou plutôt comme une atteinte aux droits individuels ?