Tout a commencé par la lecture du décret No 3889 du 27 décembre 2023 faisant grâce aux prisonniers de droit commun, suivi du mot de bienvenu du directeur de la maison d’arrêt de Laï, Ngarnayal Ngarteguem. Sur 225 détenus dont 14 femmes et 16 mineurs que compte la maison d'arrêt de Laï, ils ne sont que 31 à retrouver leur liberté tandis que les autres verront leurs peines réduites.
Dans son allocution de circonstance, le procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Laï, Hisseine Barkaye Ahmat, a souligné que cette remise de peine collective est un pardon afin de permettre la réinsertion des prisonniers, tout en expliquant l’objectif de la condamnation. Hissein Barkaye Ahmat d'ajouter que cette remise ne préjudicie pas les intérêts de l'État, des partis civils et des tiers. C'est une mesure qui permet la réduction des peines privatives de libertés. Le gouvernement en accordant cette liberté aux condamnés du droit commun voudrait leur donner une seconde chance de se resocialiser et d'éviter de tomber dans d'autres aventures, a-t-il conclu.
La préfète du département de la Tandjilé Est, Dina Djanbeye Kerima, représentante la Gouverneure, a demandé aux désormais ex prisonniers de tirer à partir de ce jour la leçon de l'incarcération et de se comporter en bon citoyen pour ne plus retomber dans les mêmes erreurs. Et pour ceux qui ont vu leurs peines réduites, elle les exhorte à plus de patience et de discipline pour ne pas aggraver leurs situations, tout en remerciant le chef de l'État pour cet acte louable.
C'est par la remise des attestations et d’un don de moustiquaires aux détenus que cette cérémonie a pris fin.
Dans son allocution de circonstance, le procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Laï, Hisseine Barkaye Ahmat, a souligné que cette remise de peine collective est un pardon afin de permettre la réinsertion des prisonniers, tout en expliquant l’objectif de la condamnation. Hissein Barkaye Ahmat d'ajouter que cette remise ne préjudicie pas les intérêts de l'État, des partis civils et des tiers. C'est une mesure qui permet la réduction des peines privatives de libertés. Le gouvernement en accordant cette liberté aux condamnés du droit commun voudrait leur donner une seconde chance de se resocialiser et d'éviter de tomber dans d'autres aventures, a-t-il conclu.
La préfète du département de la Tandjilé Est, Dina Djanbeye Kerima, représentante la Gouverneure, a demandé aux désormais ex prisonniers de tirer à partir de ce jour la leçon de l'incarcération et de se comporter en bon citoyen pour ne plus retomber dans les mêmes erreurs. Et pour ceux qui ont vu leurs peines réduites, elle les exhorte à plus de patience et de discipline pour ne pas aggraver leurs situations, tout en remerciant le chef de l'État pour cet acte louable.
C'est par la remise des attestations et d’un don de moustiquaires aux détenus que cette cérémonie a pris fin.