L'affaire défraie la chronique sur les réseaux sociaux. La DCPDC affirme avoir fait des recoupements d'informations auprès du CECOQDA (centre de contrôle de qualité), du ministère de l'Élevage et des Productions animales et de la société CPL Transformation Yes Maïs.
Le directeur de la CECOQDA a expliqué à la DCPDC que son institution a bel et bien effectué des missions dans l'entreprise productrice. Cependant, elle n'a pas l'habilitation de publier le résultat des analyses : "il faut s'adresser au CONGRA qui est un comité multisectoriel de gestion de résultat des analyses basé au ministère de l'Élevage et des Productions animales".
Dans cette affaire, la DCPDC affirme ne pas disposer d'informations suffisantes pour intenter une quelconque action en justice. Joint par Alwihda Info, le CECOQDA renvoie vers la DCPDC.
La DCPDC recommande aux pouvoirs publics de refaire des nouvelles analyses en tenant compte de tous les paramètres. Aux consommateurs, la DCPDC leur demande de ne pas stocker les produits faisant polméique. Néanmoins, elle n'a pas la qualité d'interdire sa consommation car il faut des contre-expertises.
Le directeur de la CECOQDA a expliqué à la DCPDC que son institution a bel et bien effectué des missions dans l'entreprise productrice. Cependant, elle n'a pas l'habilitation de publier le résultat des analyses : "il faut s'adresser au CONGRA qui est un comité multisectoriel de gestion de résultat des analyses basé au ministère de l'Élevage et des Productions animales".
Dans cette affaire, la DCPDC affirme ne pas disposer d'informations suffisantes pour intenter une quelconque action en justice. Joint par Alwihda Info, le CECOQDA renvoie vers la DCPDC.
La DCPDC recommande aux pouvoirs publics de refaire des nouvelles analyses en tenant compte de tous les paramètres. Aux consommateurs, la DCPDC leur demande de ne pas stocker les produits faisant polméique. Néanmoins, elle n'a pas la qualité d'interdire sa consommation car il faut des contre-expertises.