Le président du Réseau des personnes handicapées du Tchad (REPHAT), Galmai Moussa Abdramane, et le coordinateur de la plateforme des 212 associations, Mahamat Nour Haggar, se sont rendus mardi 4 juillet 2021 à Kousseri, ville frontalière camerounaise.
Ce troisième déplacement vise à rendre compte des démarches entamées auprès des autorités pour le retour au pays des personnes handicapées. Depuis quelques semaines, un groupe de personnes handicapées s'est réfugié à Kousseri, pour exprimer son mécontentement sur ses conditions de traitement. « Après avoir échangé les avec les autorités, ces personnes handicapées nous ont fait savoir que la décision interdisant la circulation des engins à deux roues et les engins à trois roues a été prise en commun accord avec les autorités camerounaises dans le cadre sécuritaire entre les deux frontières », a expliqué Mahamat Nour Haggar.
« Les autorités tchadiennes ont apprécié la démarche et elles ont accordé une importance capitale à cette affaire depuis le premier jour. Elles ont rassuré de leur bonne volonté pour que les compatriotes réfugiés à Kousseri puissent rentrer au pays », a-t-il ajouté. Les autorités demandent aux compatriotes de rentrer au pays en attendant que les deux pays revoient ensemble les mesures prises au niveau des deux frontières.
Ce troisième déplacement vise à rendre compte des démarches entamées auprès des autorités pour le retour au pays des personnes handicapées. Depuis quelques semaines, un groupe de personnes handicapées s'est réfugié à Kousseri, pour exprimer son mécontentement sur ses conditions de traitement. « Après avoir échangé les avec les autorités, ces personnes handicapées nous ont fait savoir que la décision interdisant la circulation des engins à deux roues et les engins à trois roues a été prise en commun accord avec les autorités camerounaises dans le cadre sécuritaire entre les deux frontières », a expliqué Mahamat Nour Haggar.
« Les autorités tchadiennes ont apprécié la démarche et elles ont accordé une importance capitale à cette affaire depuis le premier jour. Elles ont rassuré de leur bonne volonté pour que les compatriotes réfugiés à Kousseri puissent rentrer au pays », a-t-il ajouté. Les autorités demandent aux compatriotes de rentrer au pays en attendant que les deux pays revoient ensemble les mesures prises au niveau des deux frontières.