L’impunité au Tchad a trop duré ! Pire, la junte au pouvoir mène des actions qui "témoignent de sa volonté de conserver le pouvoir pour perpétuer l’impunité des crimes graves commis par le passé et de protéger les auteurs de nouveaux crimes".
Ces "terribles" crimes commis "sous le regard complice et approbateur de la junte au pouvoir" sont notamment la répression sanglante de la marche pacifique du 27 avril, les "massacres des populations civiles non armées" d’Abéché, les "odieux massacres" de Sandana, de Danamadja, de Kouri Bougoudi et surtout "les crimes économiques" de la Société des hydrocarbures du Tchad (SHT).
"L’ensemble de ces crimes sont documentés et feront l’objet des enquêtes internationales par les organisations internationales de défense des droits de l’Homme", informe Me Jacqueline Moudeïna. La technologie doit jouer un rôle capital dans cette lutte. Me Jacqueline demande à la population de "filmer et filmer encore" les scènes de crime, "d’enregistrer tout et tout" pour brandir au moment opportun.
Me Jacqueline évoque aussi le dialogue national inclusif qu'elle réclame être le dialogue des "personnes sincères et non celles qui sont soupçonnées d'avoir commis des infractions graves ou qui ont été poursuivies par la justice".
Ces "terribles" crimes commis "sous le regard complice et approbateur de la junte au pouvoir" sont notamment la répression sanglante de la marche pacifique du 27 avril, les "massacres des populations civiles non armées" d’Abéché, les "odieux massacres" de Sandana, de Danamadja, de Kouri Bougoudi et surtout "les crimes économiques" de la Société des hydrocarbures du Tchad (SHT).
"L’ensemble de ces crimes sont documentés et feront l’objet des enquêtes internationales par les organisations internationales de défense des droits de l’Homme", informe Me Jacqueline Moudeïna. La technologie doit jouer un rôle capital dans cette lutte. Me Jacqueline demande à la population de "filmer et filmer encore" les scènes de crime, "d’enregistrer tout et tout" pour brandir au moment opportun.
Me Jacqueline évoque aussi le dialogue national inclusif qu'elle réclame être le dialogue des "personnes sincères et non celles qui sont soupçonnées d'avoir commis des infractions graves ou qui ont été poursuivies par la justice".