Le gouvernement a prévu la construction de centrales de production d'oxygène dans plusieurs localités afin de soulager les malades en détresse respiratoire, sous la supervision de l'OMS.
La centrale de production d'oxygène de Moundou couvrira géographiquement une grande partie des provinces de la zone méridionale, selon le gouverneur du Logone Occidental, Ibrahim Ibni Mahamat Saleh. Il préconise un renforcement du personnel pour faciliter le maniement et exhorte à un bon usage de la centrale.
"À partir de maintenant, Moundou n'est pas seulement la capitale économique du pays mais également un pôle de production d'oxygène pour sauver la population", a indiqué le maire par intérim de Moundou, Netoloum Julien.
La centrale de production d'oxygène de Moundou couvrira géographiquement une grande partie des provinces de la zone méridionale, selon le gouverneur du Logone Occidental, Ibrahim Ibni Mahamat Saleh. Il préconise un renforcement du personnel pour faciliter le maniement et exhorte à un bon usage de la centrale.
"À partir de maintenant, Moundou n'est pas seulement la capitale économique du pays mais également un pôle de production d'oxygène pour sauver la population", a indiqué le maire par intérim de Moundou, Netoloum Julien.
De son côté, le représentant de l'OMS, Dr. Jean-Bosco Ndihokubwayo, relève que sans oxygène, les malades en insuffisance respiratoire sont "voués à la mort". À l'époque, le pays comptait uniquement deux centrales d'oxygène à N'Djamena. Les localités de Bongor et Moundou ont été choisies pour installer deux autres centrales qui doivent répondre aux normes internationales.
La construction des centrales coûte 2 millions de dollars, "mais la santé n'a pas de prix", relève Dr. Jean-Bosco Ndihokubwayo.
Selon Dr. Abdoulmadjid Abderahim, ministre de la Santé publique et de la Prévention, "la centrale de production d'oxygène fait partie des armes efficaces pour traiter la détresse respiratoire (...) Cette centrale permet de traiter tous les patients de cinq provinces".
La construction des centrales coûte 2 millions de dollars, "mais la santé n'a pas de prix", relève Dr. Jean-Bosco Ndihokubwayo.
Selon Dr. Abdoulmadjid Abderahim, ministre de la Santé publique et de la Prévention, "la centrale de production d'oxygène fait partie des armes efficaces pour traiter la détresse respiratoire (...) Cette centrale permet de traiter tous les patients de cinq provinces".