Menu
Tchad : une délégation de Glencore reçue par Idriss Déby
Tchad : une délégation de Glencore reçue par Idriss Déby, le 3 août 2020. © PR
Le président de la République a reçu lundi matin une délégation du Groupe Glencore. Elle est conduite par son directeur général, Colin Marc Glasenberg.
Les échanges ont porté sur les perspectives d'investissement au Tchad, selon le chef de l'État Idriss Déby.
Le directeur général de la société Glencore, Colin Marc Glasenberg, a exprimé le désir de sa compagnie d’accompagner le Tchad dans le secteur du Pétrole.
Selon la note du ministère des Finances et du Budget sur le secteur pétrolier au premier trimestre 2020, le service de la dette Glencore se chiffre à 19,0 millions USD (11,3 milliards de FCFA) à cette période, dont 7,5 millions USD de principal (4,4 milliards de FCFA) et 11,5 millions USD d’intérêts (6,9 milliards de FCFA).
En mai 2018, à Paris en France, le Tchad et la société Glencore ont signé un accord définitif. L'accord a été précédé en février 2018 par un autre paraphe de la restructuration de la dette avec N’Djamena. "Ce qui a permis à l’époque au Tchad, de bénéficier de deux ans de grâce dans le remboursement de sa dette et par ricochet permis le financement de son programme triennal avec le Fonds monétaire international", explique la Présidence.
Les échanges ont porté sur les perspectives d'investissement au Tchad, selon le chef de l'État Idriss Déby.
Le directeur général de la société Glencore, Colin Marc Glasenberg, a exprimé le désir de sa compagnie d’accompagner le Tchad dans le secteur du Pétrole.
Selon la note du ministère des Finances et du Budget sur le secteur pétrolier au premier trimestre 2020, le service de la dette Glencore se chiffre à 19,0 millions USD (11,3 milliards de FCFA) à cette période, dont 7,5 millions USD de principal (4,4 milliards de FCFA) et 11,5 millions USD d’intérêts (6,9 milliards de FCFA).
En mai 2018, à Paris en France, le Tchad et la société Glencore ont signé un accord définitif. L'accord a été précédé en février 2018 par un autre paraphe de la restructuration de la dette avec N’Djamena. "Ce qui a permis à l’époque au Tchad, de bénéficier de deux ans de grâce dans le remboursement de sa dette et par ricochet permis le financement de son programme triennal avec le Fonds monétaire international", explique la Présidence.
