Le directeur général de l'ANSICE, Mahamat Aware Neissa. © DR/ANSICE
Le directeur général de l'Agence nationale de sécurité informatique et de certification électronique (ANSICE), Mahamat Aware Neissa, a expliqué vendredi, que la structure étatique tchadienne a désormais la possibilité de tracer l'origine de la diffusion frauduleuse de documents, photos ou informations sur Internet jusqu'à l'auteur des faits.
"La direction générale de l'ANSICE s'est attelée sur la mise en place de textes réglementaires. L'ANSICE a déjà mis en place en son sein, une cellule qui est chargée de la lutte contre la cybercriminalité", a affirmé Mahamat Aware Neissa.
La cellule est composée entre autres de policiers, gendarmes, juristes, techniciens en communication et d'informaticiens.
"Supposons qu'aujourd'hui sur internet, les gens filment des images et ils les envoient à 1000 personnes ; nous sommes capables de déterminer le premier et le dernier. Si on a le dernier, on peut déterminer celui qui a filmé, le propriétaire même de l'appareil. Cela veut dire qu'on peut traquer", selon le directeur général de l'ANSICE, Mahamat Aware Neissa.
Mahamat Aware Neissa a précisé qu'en cas d'opération de ce genre, l'affaire serait "transmise à la justice pour qu'elle fasse son travail".
Placée sous la tutelle de la Présidence de la République, l'ANSICE a pour mission la sécurisation des infrastructures critiques de l'État, la protection des données personnelles, la certification électronique et la lutte contre la cybercriminalité.
"La direction générale de l'ANSICE s'est attelée sur la mise en place de textes réglementaires. L'ANSICE a déjà mis en place en son sein, une cellule qui est chargée de la lutte contre la cybercriminalité", a affirmé Mahamat Aware Neissa.
La cellule est composée entre autres de policiers, gendarmes, juristes, techniciens en communication et d'informaticiens.
"Supposons qu'aujourd'hui sur internet, les gens filment des images et ils les envoient à 1000 personnes ; nous sommes capables de déterminer le premier et le dernier. Si on a le dernier, on peut déterminer celui qui a filmé, le propriétaire même de l'appareil. Cela veut dire qu'on peut traquer", selon le directeur général de l'ANSICE, Mahamat Aware Neissa.
Mahamat Aware Neissa a précisé qu'en cas d'opération de ce genre, l'affaire serait "transmise à la justice pour qu'elle fasse son travail".
Placée sous la tutelle de la Présidence de la République, l'ANSICE a pour mission la sécurisation des infrastructures critiques de l'État, la protection des données personnelles, la certification électronique et la lutte contre la cybercriminalité.