
Lors de son audition devant les conseillers nationaux le 24 juin 2023, la ministre des Transports terrestres et de la Sécurité routière, Mme Fatimé Goukouni Weddeye, a été interrogée sur la prévalence croissante des accidents de la circulation et des embouteillages sur les routes publiques, ainsi que sur les mesures préconisées par le gouvernement pour résoudre ce fléau.
Dans sa réponse, la ministre a souligné l'importance d'assurer la sécurité routière et de trouver des solutions aux problèmes d'embouteillages.
Cependant, elle a également souligné que d'autres facteurs contribuent à cette situation, tels que les comportements irresponsables liés à l'excès de vitesse, à la consommation d'alcool, à l'incivisme et à l'utilisation excessive de motos, ainsi que les défaillances des systèmes de freinage et d'autres organes des véhicules.
Il est observé à N'Djamena des comportements caractérisés par l'incivisme et l'impatience des usagers de la route. Certains se comportent de manière arrogante, ne respectant ni les files, ni les feux de circulation, ce qui perturbe la fluidité du trafic.
De plus, l'impraticabilité des routes secondaires entraîne une congestion sur les routes bitumées pendant la saison des pluies, ce qui contribue aux embouteillages et augmente le risque d'accidents. En outre, les quartiers périphériques connaissent une forte densité de population, avec une seule voie d'accès vers le centre de N'Djamena. Les cas du pont à double voies, de la route de Farcha et de la sortie Nord, ont également été mentionnés.
Selon les études, les accidents de la circulation au Tchad en général, et à N'Djamena en particulier, ont plusieurs causes récurrentes. Parmi les principales causes, figurent le manque d'attention (utilisation du téléphone au volant, autres distractions), l'excès de vitesse, les mouvements dangereux sur la chaussée (arrêts imprévus des minibus et taxis sans points d'arrêt fixes, surcharge), la conduite en état d'ébriété, le manque de maîtrise des règles de circulation et le mauvais état des routes.
En plus de ces causes, d'autres facteurs tels que le fonctionnement intermittent des feux de signalisation, le manque de dépanneuses pour retirer les véhicules accidentés, ou en panne de la circulation, et l'augmentation du nombre de motos sur les routes, dont la plupart des conducteurs ne respectent pas les règles de circulation et refusent de porter un casque, contribuent également à la problématique.
La ministre a souligné la nécessité de prendre des mesures pour remédier à ces problèmes et a affirmé l'engagement de son ministère à améliorer la sécurité routière et à mettre en œuvre des solutions efficaces pour réduire les accidents et les embouteillages sur les routes du pays.
Dans sa réponse, la ministre a souligné l'importance d'assurer la sécurité routière et de trouver des solutions aux problèmes d'embouteillages.
Cependant, elle a également souligné que d'autres facteurs contribuent à cette situation, tels que les comportements irresponsables liés à l'excès de vitesse, à la consommation d'alcool, à l'incivisme et à l'utilisation excessive de motos, ainsi que les défaillances des systèmes de freinage et d'autres organes des véhicules.
Il est observé à N'Djamena des comportements caractérisés par l'incivisme et l'impatience des usagers de la route. Certains se comportent de manière arrogante, ne respectant ni les files, ni les feux de circulation, ce qui perturbe la fluidité du trafic.
De plus, l'impraticabilité des routes secondaires entraîne une congestion sur les routes bitumées pendant la saison des pluies, ce qui contribue aux embouteillages et augmente le risque d'accidents. En outre, les quartiers périphériques connaissent une forte densité de population, avec une seule voie d'accès vers le centre de N'Djamena. Les cas du pont à double voies, de la route de Farcha et de la sortie Nord, ont également été mentionnés.
Selon les études, les accidents de la circulation au Tchad en général, et à N'Djamena en particulier, ont plusieurs causes récurrentes. Parmi les principales causes, figurent le manque d'attention (utilisation du téléphone au volant, autres distractions), l'excès de vitesse, les mouvements dangereux sur la chaussée (arrêts imprévus des minibus et taxis sans points d'arrêt fixes, surcharge), la conduite en état d'ébriété, le manque de maîtrise des règles de circulation et le mauvais état des routes.
En plus de ces causes, d'autres facteurs tels que le fonctionnement intermittent des feux de signalisation, le manque de dépanneuses pour retirer les véhicules accidentés, ou en panne de la circulation, et l'augmentation du nombre de motos sur les routes, dont la plupart des conducteurs ne respectent pas les règles de circulation et refusent de porter un casque, contribuent également à la problématique.
La ministre a souligné la nécessité de prendre des mesures pour remédier à ces problèmes et a affirmé l'engagement de son ministère à améliorer la sécurité routière et à mettre en œuvre des solutions efficaces pour réduire les accidents et les embouteillages sur les routes du pays.