Dans le cadre du Projet d'Appui à la Promotion et la Protection des Droits de l'Homme au Tchad, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l'Homme (HCDH), en collaboration avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), organise cet atelier de trois jours, du 05 au 07 août 2024 à Mao.
L'objectif de cet atelier est de former les FDS, incluant la Gendarmerie, la Police et la GNNT, sur les droits de l'homme et leur rôle dans un contexte électoral, ainsi que de renforcer leur engagement dans la lutte contre l'impunité des violations impliquant les FDS.
Plus spécifiquement, cette session vise à inculquer aux FDS les notions de base en matière des droits de l'homme en lien avec leurs missions, y compris en période électorale. Elle sensibilisera également les FDS sur leurs responsabilités en matière de droits de l'homme et de lutte contre l'impunité.
Les modules abordés incluront : les droits de l'homme liés au processus électoral, les droits de l'homme et le Droit International Humanitaire, la gestion des réunions et manifestations publiques par les FDS, les principes d'utilisation de la force et de l'arme à feu par les agents d'application de la loi, les droits et la protection de l'enfant, la notion de genre, les VBG, et les violences sexuelles liées aux conflits.
Le Coordonnateur du Projet d'Appui à la Promotion et la Protection des Droits de l'Homme au Tchad, Mougadji Chabi Hubert, a indiqué que le projet vise à accompagner l'État tchadien dans la satisfaction de ses obligations internationales en matière de droits de l'homme, en mettant en œuvre les résolutions et recommandations du DNIS relatives aux droits de l'homme.
Ce projet soutient également l'État tchadien dans l'achèvement de la transition en cours, en renforçant les efforts des autorités en matière de droits de l'homme et de justice transitionnelle. Selon lui, la période électorale est souvent sensible en matière de droits de l'homme dans de nombreux pays, et les forces de défense et de sécurité doivent aborder la question de l'impunité, un obstacle majeur dans la quête de justice.
Le Secrétaire Général de la Province du Kanem, Annour Djibrine Abdoulaye, a souligné l'importance des nouvelles responsabilités et aptitudes que les participants acquerront à l'issue de cette formation, appelant à une prise de conscience accrue de leur rôle crucial dans la protection des droits de l'homme.
L'objectif de cet atelier est de former les FDS, incluant la Gendarmerie, la Police et la GNNT, sur les droits de l'homme et leur rôle dans un contexte électoral, ainsi que de renforcer leur engagement dans la lutte contre l'impunité des violations impliquant les FDS.
Plus spécifiquement, cette session vise à inculquer aux FDS les notions de base en matière des droits de l'homme en lien avec leurs missions, y compris en période électorale. Elle sensibilisera également les FDS sur leurs responsabilités en matière de droits de l'homme et de lutte contre l'impunité.
Les modules abordés incluront : les droits de l'homme liés au processus électoral, les droits de l'homme et le Droit International Humanitaire, la gestion des réunions et manifestations publiques par les FDS, les principes d'utilisation de la force et de l'arme à feu par les agents d'application de la loi, les droits et la protection de l'enfant, la notion de genre, les VBG, et les violences sexuelles liées aux conflits.
Le Coordonnateur du Projet d'Appui à la Promotion et la Protection des Droits de l'Homme au Tchad, Mougadji Chabi Hubert, a indiqué que le projet vise à accompagner l'État tchadien dans la satisfaction de ses obligations internationales en matière de droits de l'homme, en mettant en œuvre les résolutions et recommandations du DNIS relatives aux droits de l'homme.
Ce projet soutient également l'État tchadien dans l'achèvement de la transition en cours, en renforçant les efforts des autorités en matière de droits de l'homme et de justice transitionnelle. Selon lui, la période électorale est souvent sensible en matière de droits de l'homme dans de nombreux pays, et les forces de défense et de sécurité doivent aborder la question de l'impunité, un obstacle majeur dans la quête de justice.
Le Secrétaire Général de la Province du Kanem, Annour Djibrine Abdoulaye, a souligné l'importance des nouvelles responsabilités et aptitudes que les participants acquerront à l'issue de cette formation, appelant à une prise de conscience accrue de leur rôle crucial dans la protection des droits de l'homme.