Le Premier ministre du Burkina Faso, Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, a présidé la réunion de haut niveau sur la stratégie de gestion des sociétés d’Etat, ce jeudi 14 septembre 2023, à Ouagadougou.
Il a insisté sur la nécessité d'une rationalisation des dépenses, à travers l'harmonisation des rémunérations, l'arrêt des consultations des cabinets privés, et de la formation de certains agents à l'étranger. C'est une position du Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, qui a le mérite de la franchise et de la fermeté : il faut travailler à rationaliser les dépenses, en harmonisant les rémunérations au niveau des sociétés d’Etat.
« Il n'y a pas de raison que, dans les sociétés d’Etat, les rémunérations puissent aller du simple au quintuple, voire dix fois plus. Il faut travailler à l'harmonisation des rémunérations dans les sociétés d’Etat, parce que ces divergences entraînent des frustrations. Il y a des gens qui sont dans les sociétés d’Etat qui travaillent beaucoup plus que dans certaines autres sociétés d’Etat, alors qu'ils gagnent beaucoup moins que ceux qui sont dans ces sociétés-là », a-t-il martelé, à l'occasion des travaux de la réunion de haut niveau sur la stratégie de gestion des sociétés d’Etat.
D'ailleurs, il a également fait savoir que les frais de consultation des cabinets privés doivent également être harmonisés.
« On nous a privé de beaucoup de financements, mais par la rigueur dans la gestion, nous arrivons à faire mieux qu'à l'époque où on bénéficiait de financements. Le budget se porte mieux, la croissance économique en 2024 sera mieux qu'en 2023, sans avoir eu de financements. La France, par réaction impulsive, a récemment arrêté ses engagements, notamment son aide publique au développement, à travers l'Agence française de développement (AFD). Cela ne nous dit rien parce qu'on avait anticipé. Dans la bonne gestion, on récolte beaucoup d'argent qu'avant, parce que le peu qu'on a on gère ça bien. C'est cette orientation que j'ai à donner et il faudra désormais procéder de cette façon », a-t-il insisté.
Toujours, pour la bonne gestion des deniers publics au niveau des sociétés d’Etat, le Premier ministre a dénoncé certaines pratiques, notamment celles relatives aux formations des responsables, cadres et administrateurs à l'étranger.
Il a insisté sur la nécessité d'une rationalisation des dépenses, à travers l'harmonisation des rémunérations, l'arrêt des consultations des cabinets privés, et de la formation de certains agents à l'étranger. C'est une position du Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, qui a le mérite de la franchise et de la fermeté : il faut travailler à rationaliser les dépenses, en harmonisant les rémunérations au niveau des sociétés d’Etat.
« Il n'y a pas de raison que, dans les sociétés d’Etat, les rémunérations puissent aller du simple au quintuple, voire dix fois plus. Il faut travailler à l'harmonisation des rémunérations dans les sociétés d’Etat, parce que ces divergences entraînent des frustrations. Il y a des gens qui sont dans les sociétés d’Etat qui travaillent beaucoup plus que dans certaines autres sociétés d’Etat, alors qu'ils gagnent beaucoup moins que ceux qui sont dans ces sociétés-là », a-t-il martelé, à l'occasion des travaux de la réunion de haut niveau sur la stratégie de gestion des sociétés d’Etat.
D'ailleurs, il a également fait savoir que les frais de consultation des cabinets privés doivent également être harmonisés.
« On nous a privé de beaucoup de financements, mais par la rigueur dans la gestion, nous arrivons à faire mieux qu'à l'époque où on bénéficiait de financements. Le budget se porte mieux, la croissance économique en 2024 sera mieux qu'en 2023, sans avoir eu de financements. La France, par réaction impulsive, a récemment arrêté ses engagements, notamment son aide publique au développement, à travers l'Agence française de développement (AFD). Cela ne nous dit rien parce qu'on avait anticipé. Dans la bonne gestion, on récolte beaucoup d'argent qu'avant, parce que le peu qu'on a on gère ça bien. C'est cette orientation que j'ai à donner et il faudra désormais procéder de cette façon », a-t-il insisté.
Toujours, pour la bonne gestion des deniers publics au niveau des sociétés d’Etat, le Premier ministre a dénoncé certaines pratiques, notamment celles relatives aux formations des responsables, cadres et administrateurs à l'étranger.