Menu
Cameroun : L'ancien bureau exécutif de Mboscuda fait ses preuves auprès des communautés Mbororo
Après une visite chez sa majesté Mohamadou Hayatou, lamido de Ngaoundéré, les travaux ont débuté sur la révision des statuts, le règlement intérieur et le plan d’action 2024-2027. L’assemblée s’est achevée avec le renouvèlement du bureau exécutif national. Les activités purement culturelles, ont été accompagnées par le lamido de Didango, sa majesté Ahmadou Roufaï.
Créée en 1992, cette association a réussi à réorienter les réalités nomades de la communauté Mbororo qui était alors dispersée et déchirée entre la peur de s'installer et le désir de vivre en autarcie.
Le Mboscuda est arrivé comme "le Moïse de notre ère" pour unifier les Mbororo sur le plan national et les sensibiliser sur les bénéfices de la sédentarisation.
Le président sortant et entrant, M. Adamou Amadou, est parvenu à unifier les Mbororo en leur recommandant d'accompagner le gouvernement dans ses objectifs de construction du Cameroun. Pour ce qui est des Mbororo un accent particulier est orienté sur l'obtention des documents officiels, la scolarisation et la cohabitation pacifique entre les agriculteurs et les éleveurs.
Le président Adamou Amadou a lancé un plaidoyer pour la consolidation des actes pour le bien-être des Mbororo, notamment la création des plates-formes pour un dialogue Agro-pastoral. Le renouvellement du bureau exécutif sortant est donc une opportunité pour la Mbororo Social en Cultural Development Association et pour la communauté Mbororo dans son ensemble dans cette mouvance.
Si les premiers leaders du Mboscuda parviennent à inspirer les Mbororo à se regrouper, le président sortant Adamou Amadou parvient pour sa part à les unifier. Pour lui il n’existe plus de famille, il n’existe plus de clan principaux critères de regroupement social au sein de cette communauté, il n’existe que des descendants du Gatchougol, en référence à la période nomade, qui doivent accompagner le gouvernement dans ses objectifs de développement du Cameroun.
Depuis sa création en 1992, la Mbororo Social en Cultural Development Association a réussi à inspirer les Mbororos à se regrouper et à se réorienter vers une vie plus sédentaire. Le renouvellement du bureau exécutif national promet une continuation de cette consolidation, et nous sommes impatients de voir les réalisations et les nouvelles initiatives que le bureau exécutif sortant impliquera dans le quotidien des Mbororo.
Le président Adamou Amadou a prononcé un discours poignant lors de l'assemblée générale de la Mbororo Social en Cultural Development Association. En effet, il a souligné que les quatre années à venir seraient consacrées à la consolidation des actes pour le bien-être des Mbororo. Il a notamment insisté sur l'importance de l'orientation professionnelle scolaire, la création de plates-formes pour le dialogue agro-pastoral et la mise en place de centres d'état civil spéciaux dans les Ardorat, les régions à forte concentration des Mbororo, pour rendre la citoyenneté plus envisageable et complète. Le président sortant a également pris des mesures pour sensibiliser les Mbororo sur les bénéfices de la sédentarisation et l'obtention des documents officiels, tels que les actes de naissance. Enfin, il a abordé la problématique de l'insécurité touchant cette communauté. Avec le renouvellement du bureau exécutif national, la Mbororo Social en Cultural Development Association est prête à poursuivre son travail pour l'intégration des Mbororo sur le plan national.
La communauté Mbororo est plus que jamais unie et consciente de la précarité de leur mode de vie, elle se mobilise derrière son nouveau dirigeant pour contrer leur ennemi commun : la sous scolarisation et leur difficultés d'intégration nationale. Le magistrat Adamou Amadou finira avec une majorité absolue et selon Fanta Dada Petel, Dr en Histoire des peuples autochtones, « l'histoire retiendra que la communauté Mbororo consciente de la précarité de leur mode de vie s’unissent plus que jamais autour d'un seul candidat pour contrer, leur ennemi commun : le retard effréné à leur éducation et leur intégration nationale. »
En fin de compte, le renouvellement du bureau exécutif national de Mboscuda est une étape importante dans la lutte pour l'amélioration des conditions de vie des Mbororo.
Créée en 1992, cette association a réussi à réorienter les réalités nomades de la communauté Mbororo qui était alors dispersée et déchirée entre la peur de s'installer et le désir de vivre en autarcie.
Le Mboscuda est arrivé comme "le Moïse de notre ère" pour unifier les Mbororo sur le plan national et les sensibiliser sur les bénéfices de la sédentarisation.
Le président sortant et entrant, M. Adamou Amadou, est parvenu à unifier les Mbororo en leur recommandant d'accompagner le gouvernement dans ses objectifs de construction du Cameroun. Pour ce qui est des Mbororo un accent particulier est orienté sur l'obtention des documents officiels, la scolarisation et la cohabitation pacifique entre les agriculteurs et les éleveurs.
Le président Adamou Amadou a lancé un plaidoyer pour la consolidation des actes pour le bien-être des Mbororo, notamment la création des plates-formes pour un dialogue Agro-pastoral. Le renouvellement du bureau exécutif sortant est donc une opportunité pour la Mbororo Social en Cultural Development Association et pour la communauté Mbororo dans son ensemble dans cette mouvance.
Si les premiers leaders du Mboscuda parviennent à inspirer les Mbororo à se regrouper, le président sortant Adamou Amadou parvient pour sa part à les unifier. Pour lui il n’existe plus de famille, il n’existe plus de clan principaux critères de regroupement social au sein de cette communauté, il n’existe que des descendants du Gatchougol, en référence à la période nomade, qui doivent accompagner le gouvernement dans ses objectifs de développement du Cameroun.
Depuis sa création en 1992, la Mbororo Social en Cultural Development Association a réussi à inspirer les Mbororos à se regrouper et à se réorienter vers une vie plus sédentaire. Le renouvellement du bureau exécutif national promet une continuation de cette consolidation, et nous sommes impatients de voir les réalisations et les nouvelles initiatives que le bureau exécutif sortant impliquera dans le quotidien des Mbororo.
Le président Adamou Amadou a prononcé un discours poignant lors de l'assemblée générale de la Mbororo Social en Cultural Development Association. En effet, il a souligné que les quatre années à venir seraient consacrées à la consolidation des actes pour le bien-être des Mbororo. Il a notamment insisté sur l'importance de l'orientation professionnelle scolaire, la création de plates-formes pour le dialogue agro-pastoral et la mise en place de centres d'état civil spéciaux dans les Ardorat, les régions à forte concentration des Mbororo, pour rendre la citoyenneté plus envisageable et complète. Le président sortant a également pris des mesures pour sensibiliser les Mbororo sur les bénéfices de la sédentarisation et l'obtention des documents officiels, tels que les actes de naissance. Enfin, il a abordé la problématique de l'insécurité touchant cette communauté. Avec le renouvellement du bureau exécutif national, la Mbororo Social en Cultural Development Association est prête à poursuivre son travail pour l'intégration des Mbororo sur le plan national.
La communauté Mbororo est plus que jamais unie et consciente de la précarité de leur mode de vie, elle se mobilise derrière son nouveau dirigeant pour contrer leur ennemi commun : la sous scolarisation et leur difficultés d'intégration nationale. Le magistrat Adamou Amadou finira avec une majorité absolue et selon Fanta Dada Petel, Dr en Histoire des peuples autochtones, « l'histoire retiendra que la communauté Mbororo consciente de la précarité de leur mode de vie s’unissent plus que jamais autour d'un seul candidat pour contrer, leur ennemi commun : le retard effréné à leur éducation et leur intégration nationale. »
En fin de compte, le renouvellement du bureau exécutif national de Mboscuda est une étape importante dans la lutte pour l'amélioration des conditions de vie des Mbororo.
