Au cours de ces assises, le président égyptien, Al-Sissi a déclaré qu’« aucun gouvernement ne peut à lui seul rendre la relance verte possible. Une telle relance nécessite le soutien de la communauté internationale et des institutions financières pour atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’ONU. » Pour sa part, la ministre de la Coopération internationale, Rania El-Machat, a souligné « ce Forum offre une occasion unique pour l’Égypte de redéfinir les priorités mondiales et de mettre la durabilité au cœur du développement économique. »
Pour sa part, Solomon Quaynor, vice-président chargé du Complexe du secteur privé, de l'infrastructure et de l'industrialisation à la Banque Africaine de Développement (BAD), a déclaré lors d’un panel sur le multilatéralisme que «l’Égypte est particulièrement placée pour être un pôle régional de production de vaccins. » Ainsi, une campagne de vaccination réussie en Afrique pourrait aider à réaliser les avantages de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et tracer une nouvelle voie vers un marché unique pour les biens et services à destination d’une population d’1,2 milliards de personnes avec un produit intérieur brut combiné de 3,4 billions de dollars.
Abordant le besoin urgent de débloquer des fonds pour soutenir le développement international, Jorge Moreira da Silva, directeur de la Direction de la coopération pour le développement (OCDE), a souligné la nécessité de mobiliser au moins 1% des 379 000 milliards USD d’actifs financiers. Ce qui n’est pas faisable sans une approche holistique, d’où l’importance de s’appuyer sur le rôle du multilatéralisme.
En définitive, comme l’a souligné Mme Yasmine Fouad, ministre égyptienne de l’Environnement, « le changement climatique n’est pas un défi environnemental. Le défi climatique est un défi qui menace durement tous les processus de développement, qui ne fait pas de différence entre un pays riche, un pays pauvre ou un pays en développement. »
Pour sa part, Solomon Quaynor, vice-président chargé du Complexe du secteur privé, de l'infrastructure et de l'industrialisation à la Banque Africaine de Développement (BAD), a déclaré lors d’un panel sur le multilatéralisme que «l’Égypte est particulièrement placée pour être un pôle régional de production de vaccins. » Ainsi, une campagne de vaccination réussie en Afrique pourrait aider à réaliser les avantages de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et tracer une nouvelle voie vers un marché unique pour les biens et services à destination d’une population d’1,2 milliards de personnes avec un produit intérieur brut combiné de 3,4 billions de dollars.
Abordant le besoin urgent de débloquer des fonds pour soutenir le développement international, Jorge Moreira da Silva, directeur de la Direction de la coopération pour le développement (OCDE), a souligné la nécessité de mobiliser au moins 1% des 379 000 milliards USD d’actifs financiers. Ce qui n’est pas faisable sans une approche holistique, d’où l’importance de s’appuyer sur le rôle du multilatéralisme.
En définitive, comme l’a souligné Mme Yasmine Fouad, ministre égyptienne de l’Environnement, « le changement climatique n’est pas un défi environnemental. Le défi climatique est un défi qui menace durement tous les processus de développement, qui ne fait pas de différence entre un pays riche, un pays pauvre ou un pays en développement. »