À travers son comité de haut niveau sur la Libye, l’Union Africaine a toujours soutenu qu’une conférence de réconciliation inter-libyenne constitue l’amorce d’un processus électoral apaisé. La première réunion du comité préparatoire de cette conférence a été ouverte par le président du comité de haut niveau de l’Union africaine sur la Libye, le congolais Denis Sassou N’Guesso.
La réunion a rassemblé plusieurs parties libyennes, mais aussi la ligue arabe et le président de la commission de l’union africaine.
Il y a environ cinq mois, les 10 pays membres du comité de haut niveau de l'Union africaine sur la Libye réaffirmaient au cours d’une réunion, l'urgence de créer les conditions nécessaires à la tenue de la conférence inclusive inter-libyenne de réconciliation.
Dans allocution d’ouverture, le chef de l’Etat congolais fait savoir que « cette identité de vues procédait de la nécessité d'impulser, de manière décisive, les préparatifs de cette conférence de réconciliation, préalable irréversible aux élections générales à venir et ultime levier au service de la restauration de l'unité nationale en Libye ».
Denis Sassou N’Guesso a rappelé le bien-fondé des présentes assises, en précisant que « … tous ici rassemblés, nous œuvrons pour une Libye apaisée et stable. Il faut, pour les uns et les autres, sans condition, renoncer à la recherche obstinée de leadership et placer systématiquement l'intérêt général au-dessus des calculs individuels pour avancer sur la voie du renouveau libyen ».
La constante volonté d’aider la Libye
Le président du comité de haut niveau sur la Libye a réaffirmé sa ferme volonté d’aider le peuple libyen à trouver des solutions idoines pour arriver à l’organisation d’une conférence inter-libyenne de réconciliation.
Pour lui, « …depuis [sa] désignation en novembre 2016, voilà donc aujourd'hui 7 ans, à la tête du comité de haut niveau de l'Union africaine sur la Libye, tous ses efforts se sont portés sur le retour de la paix dans votre pays, en l'occurrence avec la tenue, d'ores et déjà annoncée, des élections inclusives et crédibles, pour sortir définitivement la Libye de la tragédie ».
Denis Sassou N’Guesso considère sa mission à la tête du comité de haut niveau comme devoir qu’il « assume avec foi et détermination », avant d’appeler à « l'approfondissement du dialogue inter-libyen ».
Le président congolais a également appelé les participants à avoir des échanges devant mener aux résultats probants. « Les résultats les plus tangibles résultent des avancées sûres et efficaces. C'est pourquoi, depuis le début de la crise, nous n'avons jamais cru en une solution militaire et n'y croyons pas davantage aujourd'hui », a martelé Denis Sassou N’Guesso.
Pour une Libye stable et apaisée
Le président du comité de haut niveau de l’union africaine a édicté ce qui apparait comme des conditions pour le retour à une Libye stable et apaisée. Pour cela, il a appelé les Libyens à « juguler les rancœurs et bannir les exclusions et les rejets de la division et des séparatismes ; à privilégier la force du pardon et de la tolérance, aller au-devant de l'Autre, l'accepter en tant que frère pour regarder ensemble dans la même direction ; aussi et à rétablir les passerelles entre les tribus, entre les communautés religieuses, entre les villes et les villages, car vous êtes un seul et même peuple ».
La réunion a rassemblé plusieurs parties libyennes, mais aussi la ligue arabe et le président de la commission de l’union africaine.
Il y a environ cinq mois, les 10 pays membres du comité de haut niveau de l'Union africaine sur la Libye réaffirmaient au cours d’une réunion, l'urgence de créer les conditions nécessaires à la tenue de la conférence inclusive inter-libyenne de réconciliation.
Dans allocution d’ouverture, le chef de l’Etat congolais fait savoir que « cette identité de vues procédait de la nécessité d'impulser, de manière décisive, les préparatifs de cette conférence de réconciliation, préalable irréversible aux élections générales à venir et ultime levier au service de la restauration de l'unité nationale en Libye ».
Denis Sassou N’Guesso a rappelé le bien-fondé des présentes assises, en précisant que « … tous ici rassemblés, nous œuvrons pour une Libye apaisée et stable. Il faut, pour les uns et les autres, sans condition, renoncer à la recherche obstinée de leadership et placer systématiquement l'intérêt général au-dessus des calculs individuels pour avancer sur la voie du renouveau libyen ».
La constante volonté d’aider la Libye
Le président du comité de haut niveau sur la Libye a réaffirmé sa ferme volonté d’aider le peuple libyen à trouver des solutions idoines pour arriver à l’organisation d’une conférence inter-libyenne de réconciliation.
Pour lui, « …depuis [sa] désignation en novembre 2016, voilà donc aujourd'hui 7 ans, à la tête du comité de haut niveau de l'Union africaine sur la Libye, tous ses efforts se sont portés sur le retour de la paix dans votre pays, en l'occurrence avec la tenue, d'ores et déjà annoncée, des élections inclusives et crédibles, pour sortir définitivement la Libye de la tragédie ».
Denis Sassou N’Guesso considère sa mission à la tête du comité de haut niveau comme devoir qu’il « assume avec foi et détermination », avant d’appeler à « l'approfondissement du dialogue inter-libyen ».
Le président congolais a également appelé les participants à avoir des échanges devant mener aux résultats probants. « Les résultats les plus tangibles résultent des avancées sûres et efficaces. C'est pourquoi, depuis le début de la crise, nous n'avons jamais cru en une solution militaire et n'y croyons pas davantage aujourd'hui », a martelé Denis Sassou N’Guesso.
Pour une Libye stable et apaisée
Le président du comité de haut niveau de l’union africaine a édicté ce qui apparait comme des conditions pour le retour à une Libye stable et apaisée. Pour cela, il a appelé les Libyens à « juguler les rancœurs et bannir les exclusions et les rejets de la division et des séparatismes ; à privilégier la force du pardon et de la tolérance, aller au-devant de l'Autre, l'accepter en tant que frère pour regarder ensemble dans la même direction ; aussi et à rétablir les passerelles entre les tribus, entre les communautés religieuses, entre les villes et les villages, car vous êtes un seul et même peuple ».