Khartoum, la capitale soudanaise, est le théâtre de violents affrontements depuis le 15 avril, opposant l'armée au pouvoir aux forces paramilitaires. Malgré les multiples efforts déployés pour parvenir à un accord entre les deux parties, les exactions continuent de s'aggraver de jour en jour. Selon les Nations Unies, les affrontements ont déjà fait plus de 1800 morts et des centaines de milliers de réfugiés, principalement au Tchad. La trêve récemment annoncée grâce à la médiation américaine et saoudienne ne parvient pas à instaurer un climat de confiance, car les balles continuent de crépiter et les deux protagonistes se rejettent mutuellement la responsabilité de la violation de la trêve.
Au-delà de cette guerre fratricide, plane également une menace terroriste réelle. Plusieurs observateurs affirment que des groupes terroristes et des milices profitent des affrontements pour semer le trouble. Leur motivation est à la fois mercantile et territoriale. Des éléments armés, identifiés comme appartenant au groupe terroriste Al-Qaida, ont été repérés dans la capitale. Le risque que les terroristes et les criminels de toutes sortes profitent de l'instabilité actuelle pour intensifier l'insécurité déjà prégnante est une préoccupation majeure.
Il est donc crucial pour les parties en conflit de parvenir à un accord afin d'éviter que le Soudan ne devienne un territoire sans loi. De plus, l'Union africaine (UA), les Nations Unies (ONU), l'Union européenne (UE), la Ligue arabe et toute autre entité impliquée dans la recherche de solutions devraient imposer une force d'interposition étrangère. Cette force aurait pour mission non seulement de séparer les belligérants, mais aussi de prendre de la hauteur pour identifier les forces suspectes qui menacent l'intégrité du Soudan.
Le Centre d'Études pour le Développement et la Prévention de l'Extrémisme (CEDPE) lance cet appel urgent pour mettre en place une telle force d'interposition. La stabilité du Soudan et la sécurité de sa population en dépendent. Il est impératif que les acteurs régionaux et internationaux agissent de manière concertée pour mettre fin à ce conflit destructeur et prévenir l'aggravation de la situation dans la région.
Au-delà de cette guerre fratricide, plane également une menace terroriste réelle. Plusieurs observateurs affirment que des groupes terroristes et des milices profitent des affrontements pour semer le trouble. Leur motivation est à la fois mercantile et territoriale. Des éléments armés, identifiés comme appartenant au groupe terroriste Al-Qaida, ont été repérés dans la capitale. Le risque que les terroristes et les criminels de toutes sortes profitent de l'instabilité actuelle pour intensifier l'insécurité déjà prégnante est une préoccupation majeure.
Il est donc crucial pour les parties en conflit de parvenir à un accord afin d'éviter que le Soudan ne devienne un territoire sans loi. De plus, l'Union africaine (UA), les Nations Unies (ONU), l'Union européenne (UE), la Ligue arabe et toute autre entité impliquée dans la recherche de solutions devraient imposer une force d'interposition étrangère. Cette force aurait pour mission non seulement de séparer les belligérants, mais aussi de prendre de la hauteur pour identifier les forces suspectes qui menacent l'intégrité du Soudan.
Le Centre d'Études pour le Développement et la Prévention de l'Extrémisme (CEDPE) lance cet appel urgent pour mettre en place une telle force d'interposition. La stabilité du Soudan et la sécurité de sa population en dépendent. Il est impératif que les acteurs régionaux et internationaux agissent de manière concertée pour mettre fin à ce conflit destructeur et prévenir l'aggravation de la situation dans la région.