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Dans un pays où certains métiers sont traditionnellement réservés aux hommes, Fatimé a bravé les conventions. Depuis 2011, elle est motarde au sein de la police nationale. « J’ai l’habitude de ne travailler qu’avec des hommes. Il faut se faire sa place », explique-t-elle, encourageant les jeunes filles à persévérer dans le travail : « Rien n'est impossible, seul le travail paie. Je suis à ma 16e année de service. »
Inspectrice au 7e échelon, Fatimé Béchir reste active sur le terrain tout en assumant ses responsabilités de femme au foyer. « Je finis au plus tard à 20h, mais le jour de mon repos, je m'occupe pleinement de mes enfants », dit-elle.
Sur la route, face aux défis, Fatimé Béchir ne fait pas toujours l'unanimité. « En tant que femme, il y a ceux qui m'insultent », révèle-t-elle. À seulement 42 ans, elle a construit une belle carrière professionnelle dans la police. Cependant, malgré son dévouement infatigable, Fatimé Béchir déplore un manque d'avancement, à l'instar d'autres cadres de la police : « Depuis 2011, je n'ai pas eu de promotion », évoque-t-elle avec regret.
Malgré cet obstacle, Fatimé Béchir demeure un modèle inspirant pour les jeunes filles qui aspirent à une carrière dans la police, prouvant que la détermination et la passion peuvent briser les barrières.
Dans un pays où certains métiers sont traditionnellement réservés aux hommes, Fatimé a bravé les conventions. Depuis 2011, elle est motarde au sein de la police nationale. « J’ai l’habitude de ne travailler qu’avec des hommes. Il faut se faire sa place », explique-t-elle, encourageant les jeunes filles à persévérer dans le travail : « Rien n'est impossible, seul le travail paie. Je suis à ma 16e année de service. »
Inspectrice au 7e échelon, Fatimé Béchir reste active sur le terrain tout en assumant ses responsabilités de femme au foyer. « Je finis au plus tard à 20h, mais le jour de mon repos, je m'occupe pleinement de mes enfants », dit-elle.
Sur la route, face aux défis, Fatimé Béchir ne fait pas toujours l'unanimité. « En tant que femme, il y a ceux qui m'insultent », révèle-t-elle. À seulement 42 ans, elle a construit une belle carrière professionnelle dans la police. Cependant, malgré son dévouement infatigable, Fatimé Béchir déplore un manque d'avancement, à l'instar d'autres cadres de la police : « Depuis 2011, je n'ai pas eu de promotion », évoque-t-elle avec regret.
Malgré cet obstacle, Fatimé Béchir demeure un modèle inspirant pour les jeunes filles qui aspirent à une carrière dans la police, prouvant que la détermination et la passion peuvent briser les barrières.