
Le Conseil Supérieur des Affaires Islamiques du Tchad, par l’entremise de son Mufti, Ahmat Anour Mahamat Alhelou, qui est également le deuxième vice-président du Conseil, appelle les musulmans de toutes les confréries à observer le jeûne le jeudi 26 juin 2025, en signe d'expiation pour leurs péchés, et pour demander pardon à Dieu Tout-Puissant.
Les événements tragiques survenus récemment au Tchad préoccupent profondément le Conseil Supérieur des Affaires Islamiques du Tchad. Face à cette situation, les responsables religieux de toutes les confréries se sont réunis pour une prise de décision collective. Ils ont par ailleurs lancé un appel aux fidèles musulmans à redoubler de piété, à craindre Dieu et à purifier leurs âmes à travers un jeûne collectif.
Selon le communiqué, le Conseil Supérieur des Affaires Islamiques exprime sa grande inquiétude, concernant les attaques répétées dans diverses provinces du pays, qui se produisent sans justification et sans respect pour le caractère sacré de la vie humaine.
Ces actes violents révèlent un manque de responsabilité religieuse et morale, marqués par des tueries individuelles et collectives. Le Conseil condamne avec la plus grande fermeté ces crimes récurrents et tous actes similaires. Pour lui, ces violences sont une violation flagrante des valeurs humaines, religieuses et sociales.
Elles vont à l’encontre des principes les plus fondamentaux de la dignité humaine et du droit à la vie, garantis à la fois par les lois divines et par les législations nationales et régionales.
Les événements tragiques survenus récemment au Tchad préoccupent profondément le Conseil Supérieur des Affaires Islamiques du Tchad. Face à cette situation, les responsables religieux de toutes les confréries se sont réunis pour une prise de décision collective. Ils ont par ailleurs lancé un appel aux fidèles musulmans à redoubler de piété, à craindre Dieu et à purifier leurs âmes à travers un jeûne collectif.
Selon le communiqué, le Conseil Supérieur des Affaires Islamiques exprime sa grande inquiétude, concernant les attaques répétées dans diverses provinces du pays, qui se produisent sans justification et sans respect pour le caractère sacré de la vie humaine.
Ces actes violents révèlent un manque de responsabilité religieuse et morale, marqués par des tueries individuelles et collectives. Le Conseil condamne avec la plus grande fermeté ces crimes récurrents et tous actes similaires. Pour lui, ces violences sont une violation flagrante des valeurs humaines, religieuses et sociales.
Elles vont à l’encontre des principes les plus fondamentaux de la dignité humaine et du droit à la vie, garantis à la fois par les lois divines et par les législations nationales et régionales.