Un secteur agricole crucial pour l’économie et l’emploi
Environ 80 % de la population active dépend de l’agriculture vivrière et de l’élevage de subsistance, qui représentent plus de 40 % du PIB. L’agriculture tchadienne contribue pour 23 % du PIB, dont près de 20 % provient des cultures vivrières, selon la FAO.
Potentiel de l’élevage encore sous-exploité
Le cheptel national, vital pour l’économie, est estimé à plus de 129 millions de têtes, positionnant le Tchad parmi les plus grands producteurs de bétail du continent. Un recensement de 2018 indique 93,8 millions d’unités de bétail, auxquelles s’ajoutent 34,6 millions de volailles, soit une base solide pour une filière de transformation.
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Sécurité alimentaire fragile
Plus de 2,1 millions de personnes sont fortement touchées par l’insécurité alimentaire, dans un pays de 17,4 millions d’habitants, selon la Banque mondiale. Le Tchad est confronté à une malnutrition chronique de près de 40 % et aiguë de 13 %, des cibles clés du PND visant à réduire ces taux avant 2030 (WFP).
Face à un contexte économique et climatique fragile, le Tchad possède néanmoins un double avantage : une population majoritairement agricole et un immense cheptel. Pour concrétiser la vision présidentielle, il faudra mobiliser des financements significatifs, renforcer les capacités techniques, promouvoir la transformation locale et bâtir des résiliences contre les crises alimentaires. L’autosuffisance n’est pas un choix, mais une question de survie nationale.
Environ 80 % de la population active dépend de l’agriculture vivrière et de l’élevage de subsistance, qui représentent plus de 40 % du PIB. L’agriculture tchadienne contribue pour 23 % du PIB, dont près de 20 % provient des cultures vivrières, selon la FAO.
Potentiel de l’élevage encore sous-exploité
Le cheptel national, vital pour l’économie, est estimé à plus de 129 millions de têtes, positionnant le Tchad parmi les plus grands producteurs de bétail du continent. Un recensement de 2018 indique 93,8 millions d’unités de bétail, auxquelles s’ajoutent 34,6 millions de volailles, soit une base solide pour une filière de transformation.
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Sécurité alimentaire fragile
Plus de 2,1 millions de personnes sont fortement touchées par l’insécurité alimentaire, dans un pays de 17,4 millions d’habitants, selon la Banque mondiale. Le Tchad est confronté à une malnutrition chronique de près de 40 % et aiguë de 13 %, des cibles clés du PND visant à réduire ces taux avant 2030 (WFP).
Face à un contexte économique et climatique fragile, le Tchad possède néanmoins un double avantage : une population majoritairement agricole et un immense cheptel. Pour concrétiser la vision présidentielle, il faudra mobiliser des financements significatifs, renforcer les capacités techniques, promouvoir la transformation locale et bâtir des résiliences contre les crises alimentaires. L’autosuffisance n’est pas un choix, mais une question de survie nationale.